IciL'Atelier des arts, en partenariat avec L'Art en chemin, présente :
Avril enchanté
Théâtre,
de Elizabeth Von Arnim
Traduction, Adaptation, Mise en scène et Interprétation : Pascale Bouillon Conseiller Artistique : André Obadia
Samedi 1er juillet 2023 à 20h00
Dimanche 2 juillet à 16h00
La Grange
2, rue Oger-le-Danois
60800 TRUMILLY
Durée : 1h10
entrée : 15,00 €
Réservation indispensable
pour le samedi 1er juillet, c'est COMPLET
pour le dimanche 2 juillet, c'est COMPLET
ou par téléphone 06 74 49 38 80
Avril enchanté
Théâtre,
de Elizabeth Von Arnim
Traduction, Adaptation, Mise en scène et Interprétation : Pascale Bouillon Conseiller Artistique : André Obadia
Samedi 1er juillet 2023 à 20h00
Dimanche 2 juillet à 16h00
La Grange
2, rue Oger-le-Danois
60800 TRUMILLY
Durée : 1h10
entrée : 15,00 €
Réservation indispensable
pour le samedi 1er juillet, c'est COMPLET
pour le dimanche 2 juillet, c'est COMPLET
ou par téléphone 06 74 49 38 80
La Pièce
Une piquante comédie de mœurs sur fond d’humour so British !
Londres 1947. Quatre anglaises en manque de soleil, de liberté, de fantaisie décident de s’affranchir de leurs soupirants, familles, maris, contingences domestiques en réunissant leurs économies pour partir en vacances en Italie, au mois d’avril dans un château médiéval...
Si l’entente est immédiate entre les deux trentenaires instigatrices du voyage : Lotty Wilkins (épouse timide et soumise) et Rose Arbuthnot (douce grenouille de bénitier), la communication avec les autres co-locataires : Mrs Fischer (sexagénaire conformiste et acariâtre) et la jeune Lady Caroline Dester (Aristocrate vaniteuse et superficielle) s’avère, tout d’abord, dissonante et la cohabitation musclée.
Malgré tout, la magie de ce lieu paradisiaque va opérer et, au fil des jours, les quatre femmes vont apprendre à nouer des liens, à s’écouter, à se faire confiance car chacune partage le même désir d’émancipation.
Adaptée du roman éponyme d’Elizabeth Von Arnim, cette pièce offre avant tout une subtile et délicieuse étude de caractères. L’histoire passerait presque au second plan tant les personnages sont riches et cocasses. On a le sentiment que l’auteur, en réunissant ces personnalités issues de milieux sociaux différents, a voulu faire une expérience et a choisi comme « laboratoire » un lieu paradisiaque, tout en ménageant bien des surprises et coups de théâtre pour que le lecteur/spectateur ne s’ennuie pas un seul instant.
Elizabeth Von Arnim explore avec beaucoup de finesse, de charme et d’élégance la psychologie des personnages et égratigne au passage la nature humaine avec humour, autodérision et bienveillance car la charge est plus acidulée que féroce. Tout en bousculant les conventions sociales, elle nous donne à voir ce qui se passe au plus profond de leurs âmes et dans le secret de leurs cœurs : leurs souvenirs, leurs angoisses, leurs rêves, leurs espoirs, leurs déceptions...
La pièce qui s’apparente d’emblée à une comédie prend soudain des airs de voyage initiatique car chaque personnage, à l’issue de l’aventure, va rentrer chez lui, transformé.
Les trois personnages masculins sont sans doute moins typés en étant pourtant assez dissemblables : le charmant et romantique Thomas Briggs, l’élégant et autoritaire Mellersh Wilkins et le spirituel et volage Frédérick Arbuthnot.
Pour moi, le protagoniste essentiel, pilier de l’histoire reste le cadre magique et merveilleux de San Salvator. Propice à la méditation, à l’introspection, à l’éclosion des personnalités, la nature apparaît comme un lieu de consolation et le remède à tous les maux.
Une piquante comédie de mœurs sur fond d’humour so British !
Londres 1947. Quatre anglaises en manque de soleil, de liberté, de fantaisie décident de s’affranchir de leurs soupirants, familles, maris, contingences domestiques en réunissant leurs économies pour partir en vacances en Italie, au mois d’avril dans un château médiéval...
Si l’entente est immédiate entre les deux trentenaires instigatrices du voyage : Lotty Wilkins (épouse timide et soumise) et Rose Arbuthnot (douce grenouille de bénitier), la communication avec les autres co-locataires : Mrs Fischer (sexagénaire conformiste et acariâtre) et la jeune Lady Caroline Dester (Aristocrate vaniteuse et superficielle) s’avère, tout d’abord, dissonante et la cohabitation musclée.
Malgré tout, la magie de ce lieu paradisiaque va opérer et, au fil des jours, les quatre femmes vont apprendre à nouer des liens, à s’écouter, à se faire confiance car chacune partage le même désir d’émancipation.
Adaptée du roman éponyme d’Elizabeth Von Arnim, cette pièce offre avant tout une subtile et délicieuse étude de caractères. L’histoire passerait presque au second plan tant les personnages sont riches et cocasses. On a le sentiment que l’auteur, en réunissant ces personnalités issues de milieux sociaux différents, a voulu faire une expérience et a choisi comme « laboratoire » un lieu paradisiaque, tout en ménageant bien des surprises et coups de théâtre pour que le lecteur/spectateur ne s’ennuie pas un seul instant.
Elizabeth Von Arnim explore avec beaucoup de finesse, de charme et d’élégance la psychologie des personnages et égratigne au passage la nature humaine avec humour, autodérision et bienveillance car la charge est plus acidulée que féroce. Tout en bousculant les conventions sociales, elle nous donne à voir ce qui se passe au plus profond de leurs âmes et dans le secret de leurs cœurs : leurs souvenirs, leurs angoisses, leurs rêves, leurs espoirs, leurs déceptions...
La pièce qui s’apparente d’emblée à une comédie prend soudain des airs de voyage initiatique car chaque personnage, à l’issue de l’aventure, va rentrer chez lui, transformé.
Les trois personnages masculins sont sans doute moins typés en étant pourtant assez dissemblables : le charmant et romantique Thomas Briggs, l’élégant et autoritaire Mellersh Wilkins et le spirituel et volage Frédérick Arbuthnot.
Pour moi, le protagoniste essentiel, pilier de l’histoire reste le cadre magique et merveilleux de San Salvator. Propice à la méditation, à l’introspection, à l’éclosion des personnalités, la nature apparaît comme un lieu de consolation et le remède à tous les maux.
L’Auteur
Elizabeth von Arnim, cousine de la romancière Katherine Mansfield, naît sous le nom de Mary Annette Beauchamp à Sydney le 31 août 1866 au sein d'une famille anglaise, son père commerçant ayant fait fortune en Australie. Lorsqu'elle a trois ans, sa famille regagne l'Angleterre et s'installe à Londres. Elizabeth est une élève brillante et choisit d’intégrer le Collège Royal de Musique. À la fin de ses études, elle part faire un tour d’Europe en compagnie de son père et, en 1889, alors qu'ils sont à Rome, elle rencontre le comte Henning August von Arnim-Schlagenthin, aristocrate prussien, cousin du poète romantique Achim von Arnim. Elle l’épouse à Londres l’année suivante puis le couple s’installe à Berlin. Cinq ans plus tard, ils emménagent dans le domaine familial de son époux à Nassenheide, en Poméranie où Elizabeth découvre les joies de la vie à la campagne. Le couple aura cinq enfants éduqués par des précepteurs.
En 1898, elle publie sous le pseudonyme d’Alice Cholmandeley, son premier ouvrage, Elizabeth et son jardin allemand. Ce petit roman, réédité plus de vingt fois, a connu un succès considérable et a marqué définitivement la carrière de son auteur.
En 1908, des problèmes financiers obligent la famille von Arnim à déménager à Londres où le comte meurt deux ans plus tard. En 1912, Elizabeth s'installe en Suisse, près de Randogne, dans son « Chalet Soleil », et devient le centre d'une vie mondaine. Elle entretient alors une liaison tapageuse avec H.G. Wells. En 1916, elle épouse le comte Francis Russell mais ce mariage est un échec : ils se séparent au bout de trois ans mais ne divorceront jamais.
Elizabeth continue d'écrire partageant sa vie entre l'Angleterre, la Suisse et Mougins dans le sud de la France. Lorsque la Seconde Guerre mondiale éclate, elle gagne les États-Unis où elle meurt à Charleston le 9 février 1941.
Elizabeth von Arnim a écrit une vingtaine de romans dont les plus célèbres sont : « Elizabeth et son jardin allemand » (1898), « L’Eté solitaire » (1899), « La Bienfaitrice » (1901), « Le Jardin de l’enfance » (1901), « En Caravane » (1909), « Christopher et Columbus » (1919), « Vera » (1921), « Avril enchanté » (1922), « Love » (1925), « Tous les chiens de ma vie » (1934), « Mr Skeffington » (1940).
Elizabeth von Arnim, cousine de la romancière Katherine Mansfield, naît sous le nom de Mary Annette Beauchamp à Sydney le 31 août 1866 au sein d'une famille anglaise, son père commerçant ayant fait fortune en Australie. Lorsqu'elle a trois ans, sa famille regagne l'Angleterre et s'installe à Londres. Elizabeth est une élève brillante et choisit d’intégrer le Collège Royal de Musique. À la fin de ses études, elle part faire un tour d’Europe en compagnie de son père et, en 1889, alors qu'ils sont à Rome, elle rencontre le comte Henning August von Arnim-Schlagenthin, aristocrate prussien, cousin du poète romantique Achim von Arnim. Elle l’épouse à Londres l’année suivante puis le couple s’installe à Berlin. Cinq ans plus tard, ils emménagent dans le domaine familial de son époux à Nassenheide, en Poméranie où Elizabeth découvre les joies de la vie à la campagne. Le couple aura cinq enfants éduqués par des précepteurs.
En 1898, elle publie sous le pseudonyme d’Alice Cholmandeley, son premier ouvrage, Elizabeth et son jardin allemand. Ce petit roman, réédité plus de vingt fois, a connu un succès considérable et a marqué définitivement la carrière de son auteur.
En 1908, des problèmes financiers obligent la famille von Arnim à déménager à Londres où le comte meurt deux ans plus tard. En 1912, Elizabeth s'installe en Suisse, près de Randogne, dans son « Chalet Soleil », et devient le centre d'une vie mondaine. Elle entretient alors une liaison tapageuse avec H.G. Wells. En 1916, elle épouse le comte Francis Russell mais ce mariage est un échec : ils se séparent au bout de trois ans mais ne divorceront jamais.
Elizabeth continue d'écrire partageant sa vie entre l'Angleterre, la Suisse et Mougins dans le sud de la France. Lorsque la Seconde Guerre mondiale éclate, elle gagne les États-Unis où elle meurt à Charleston le 9 février 1941.
Elizabeth von Arnim a écrit une vingtaine de romans dont les plus célèbres sont : « Elizabeth et son jardin allemand » (1898), « L’Eté solitaire » (1899), « La Bienfaitrice » (1901), « Le Jardin de l’enfance » (1901), « En Caravane » (1909), « Christopher et Columbus » (1919), « Vera » (1921), « Avril enchanté » (1922), « Love » (1925), « Tous les chiens de ma vie » (1934), « Mr Skeffington » (1940).
Note de mise en scène
Ce Roman écrit en 1922, porté à l’écran une 1ère fois en 1935 par Harry Beaumont puis une seconde fois en 1992 par Mike Newel, n’avait à ma connaissance jamais fait l’objet d’une adaptation théâtrale, du moins en France et d’autant plus sous la forme d’un « Seule en scène ».
Ce qui m’a particulièrement intéressée dans cette œuvre, ce sont les personnages hauts en couleur qui semblent de prime abord assez bruts, monolithiques mais qui au fur à mesure de l’histoire s’avèrent plus complexes, plus profonds et dotés d’une force de vie extraordinaire, faite de désirs parfois violents mais aussi de qualités humaines indéniables.
Le travail de mise en scène consistera donc, en plus de l’identification des différents personnages par la voix, les gestes, l’attitude, à montrer leur transformation intérieure autant que l’évolution des rapports entre eux.
Il devra également transporter le spectateur dans ce lieu paradisiaque, lui donner l’impression de flâner au soleil, de profiter du paysage, de sentir l’odeur des fleurs, d’admirer la mer.
Au point de vue du décor, la difficulté majeure sera de traiter la multiplicité des lieux, un club londonien, le foyer des différents protagonistes puis, un château médiéval en Italie. Il est donc indispensable de pouvoir renseigner le spectateur sur l’endroit où l'action se déroule par quelques éléments visuels significatifs.
Quelques notes de Swing de Glenn Miller, Benny Goodman ou Artie Shaw apporteront une touche vintage et chaleureuse.
Ce Roman écrit en 1922, porté à l’écran une 1ère fois en 1935 par Harry Beaumont puis une seconde fois en 1992 par Mike Newel, n’avait à ma connaissance jamais fait l’objet d’une adaptation théâtrale, du moins en France et d’autant plus sous la forme d’un « Seule en scène ».
Ce qui m’a particulièrement intéressée dans cette œuvre, ce sont les personnages hauts en couleur qui semblent de prime abord assez bruts, monolithiques mais qui au fur à mesure de l’histoire s’avèrent plus complexes, plus profonds et dotés d’une force de vie extraordinaire, faite de désirs parfois violents mais aussi de qualités humaines indéniables.
Le travail de mise en scène consistera donc, en plus de l’identification des différents personnages par la voix, les gestes, l’attitude, à montrer leur transformation intérieure autant que l’évolution des rapports entre eux.
Il devra également transporter le spectateur dans ce lieu paradisiaque, lui donner l’impression de flâner au soleil, de profiter du paysage, de sentir l’odeur des fleurs, d’admirer la mer.
Au point de vue du décor, la difficulté majeure sera de traiter la multiplicité des lieux, un club londonien, le foyer des différents protagonistes puis, un château médiéval en Italie. Il est donc indispensable de pouvoir renseigner le spectateur sur l’endroit où l'action se déroule par quelques éléments visuels significatifs.
Quelques notes de Swing de Glenn Miller, Benny Goodman ou Artie Shaw apporteront une touche vintage et chaleureuse.
Pascale Bouillon
En 1994, Pascale crée sa compagnie et va alors monter plus d'une quinzaine de spectacles tant classiques que contemporains dans lesquels, elle est tour à tour comédienne ou metteur en scène : Marivaux (Le Jeu de l’Amour et du hasard), Guy de Maupassant (Duel au canif, Contes & Nouvelles), Oscar Wilde (Un Mari idéal), Georges Feydeau (Mme Sganarelle, Aux Antipodes, La petite Révoltée), Sacha Guitry (Faisons un rêve), Françoise Sagan (Château en Suède), Jean Cocteau (L’Aigle à deux têtes), Jules Renard (Le Pain de ménage), Gilbert Cesbron (Mort le premier), Didier Van Cauweleart (L’Astronome), Carole Fréchette (Jean et Béatrice), Stefan Zweig (24 heures de la vie d’une femme), Anton Tchekhov (Au Royaume des femmes), Emile Zola (Au Bonheur des dames).
Parallèlement, elle tourne pour le cinéma et la télévision : fictions, court-métrages, publicités. Elle prête aussi sa voix pour des documentaires, des expositions, des albums/CD jeunesse ou autres supports multimédias. On a pu la voir ces deux dernières années dans diverses séries TV sur TF1, France 2 et France 3 et notamment dans "Profilage" et "Fais pas ci, Fais pas ça".
En 2014, elle réalise l'adaptation pour le théâtre de la nouvelle de Stefan Zweig « 24 heures de la vie d'une femme » qu'elle interprète pendant trois ans, au Guichet Montparnasse à Paris, en bibliothèques et au Festival « Les Scènes de la grange » à Angaïs.
En 2017, elle assiste Pierre Cassignard dans la mise en scène de « Comme à la maison » d'Eric Romand et Bénédicte Fossey, à l'affiche du Théâtre de Paris, puis en tournée en France, en Suisse et en Belgique, en 2018.
En 2019, elle adapte le roman d’Emile Zola « Au Bonheur des dames » qu’elle met en scène et interprète jusqu’en 2022 et pour lequel elle obtient le Cyrano 2022 de la meilleure mise en scène
André Obadia
Diplômé des Universités de Vincennes et Saint-Denis en Arts du spectacle, des Cours Florent et de l'ENSATT (Rue Blanche), il a multiplié les expériences artistiques depuis 40 ans.
Metteur en scène Théâtre : Au royaume des femmes de Tchekhov (Guichet Montparnasse), Karine C se Wifi de tout (Suisse), Remue- Ménage, Un Homme Show, Le Lézard dans la boite aux lettres (Avignon), Les Frères Karamazov (Théâtre Présent), Jeunes en scène (Espace Michel Simon), Génération chante Brassens (Bobino, Petit Marigny), Le Nuage magnétique (Palais des glaces), Jules aime son prochain (Ciné théâtre 13), Dans la ligne de mire (théâtre des 3 bornes), Les Immigrés (Maison des Arts et de la Culture de Créteil) ou pour la télévision : 100% rire (FR3 – Marigny), 100 % La Vie (FR3 – Palais Royal), Que la musique commence (FR2), Rock'n Roll Circus (Arte), Dance Machine 5, 6, 8 & 9 (M6 – Pop Bercy), The Dome 2/3/4/5 (RTL2 – Franckfort, Berlin, Stuttgart, Dusseldorf), « International Comedy » Gala de clôture du festival du Rire de Montreux ...
Acteur au théâtre entre autres dans Potemkine ou Notre-Dame de Paris (Robert Hossein – Palais des Sports), Barouf a Chioggia, Macbeth (Michel Favory), D'artagnan (Jérome Savary – Théâtre de Chaillot, Mogador), Le Capitaine Fracasse (Jean-Marie Lecoq - tournées nationale et internationale), J'aurais voulu être un artiste (Agnès Boury)...
Au cinéma, il a tourné avec Claude Lelouch, Robert Hossein, Sergio Gobbi, José Pinheiro, Didier Kaminka, Andrzej Zulawski ... à la télévision avec Marion Sarraut, Jacques Espagne, Bruno Gantillon, Daniel Wronecki, Jean-Luc Miesch , Marc Angelo, Laurent Levy, Jean-Roger Cadet, Denis Berri ....
Il a été également Assistant de Robert Hossein et de Francis Perrin, ainsi que Conseiller technique d'escrime notamment pour Le Colonel Chabert (Yves Angelot), Les Anneaux de la gloire (Jean-Luc Miesch) mais aussi Auteur de portraits et voix off pour Le Grand Zap (M6).
Professeur d'Art Dramatique à L'Ecole de Théâtre Les Enfants Terribles ou au Studio Alice Dona, co-fondateur en 1999 avec Anne Dorr et Pascal Josephe de l'Atelier de Training et Coaching d'Animateur (ACTA).
Diplômé des Universités de Vincennes et Saint-Denis en Arts du spectacle, des Cours Florent et de l'ENSATT (Rue Blanche), il a multiplié les expériences artistiques depuis 40 ans.
Metteur en scène Théâtre : Au royaume des femmes de Tchekhov (Guichet Montparnasse), Karine C se Wifi de tout (Suisse), Remue- Ménage, Un Homme Show, Le Lézard dans la boite aux lettres (Avignon), Les Frères Karamazov (Théâtre Présent), Jeunes en scène (Espace Michel Simon), Génération chante Brassens (Bobino, Petit Marigny), Le Nuage magnétique (Palais des glaces), Jules aime son prochain (Ciné théâtre 13), Dans la ligne de mire (théâtre des 3 bornes), Les Immigrés (Maison des Arts et de la Culture de Créteil) ou pour la télévision : 100% rire (FR3 – Marigny), 100 % La Vie (FR3 – Palais Royal), Que la musique commence (FR2), Rock'n Roll Circus (Arte), Dance Machine 5, 6, 8 & 9 (M6 – Pop Bercy), The Dome 2/3/4/5 (RTL2 – Franckfort, Berlin, Stuttgart, Dusseldorf), « International Comedy » Gala de clôture du festival du Rire de Montreux ...
Acteur au théâtre entre autres dans Potemkine ou Notre-Dame de Paris (Robert Hossein – Palais des Sports), Barouf a Chioggia, Macbeth (Michel Favory), D'artagnan (Jérome Savary – Théâtre de Chaillot, Mogador), Le Capitaine Fracasse (Jean-Marie Lecoq - tournées nationale et internationale), J'aurais voulu être un artiste (Agnès Boury)...
Au cinéma, il a tourné avec Claude Lelouch, Robert Hossein, Sergio Gobbi, José Pinheiro, Didier Kaminka, Andrzej Zulawski ... à la télévision avec Marion Sarraut, Jacques Espagne, Bruno Gantillon, Daniel Wronecki, Jean-Luc Miesch , Marc Angelo, Laurent Levy, Jean-Roger Cadet, Denis Berri ....
Il a été également Assistant de Robert Hossein et de Francis Perrin, ainsi que Conseiller technique d'escrime notamment pour Le Colonel Chabert (Yves Angelot), Les Anneaux de la gloire (Jean-Luc Miesch) mais aussi Auteur de portraits et voix off pour Le Grand Zap (M6).
Professeur d'Art Dramatique à L'Ecole de Théâtre Les Enfants Terribles ou au Studio Alice Dona, co-fondateur en 1999 avec Anne Dorr et Pascal Josephe de l'Atelier de Training et Coaching d'Animateur (ACTA).