L'Atelier des arts, en partenariat avec L'Art en chemin, présente :
La servante maîtresse Un opéra-bouffe de PERGOLESE Avec : Karine Godefroy, soprane Marc Souchet, baryton et Adrien Jourdain au piano : Antoine Terny Mise en scène : Bernard Jourdain La Grange Samedi 2, rue Oger-le-Danois 12 septembre 2020 60800 TRUMILLY 20h00 entrée : 15,00 € et abonnement : 12,00 € réservation indispensable ici ou par téléphone 06 74 49 38 80 Règles sanitaires et distanciation physique assurées |
Toutes les mesures sanitaires (distance physique entre personnes de foyers différents, éloignement du premier rang par rapport à la scène, distribution de masques, de gel, facilités de télé-paiement) sont assurées. (Nous ne pourrons malheureusement pas faire suivre, comme nous l'aurions souhaité, la représentation d'un pot convivial.)
Une production O p é r a C ô t é C h o e u r
http://opera-cote-choeur.fr/
"La Servante Maîtresse"
Nous vous proposons le célèbre opéra-bouffe de Pergolèse, compositeur italien du XVIIIe siècle, un opéra d’environ une heure joué dans son intégralité.
La Serva padrona (La Servante maîtresse) est un intermezzo en deux parties inspiré d'une comédie de Jacopo Angello Nelli créé au Teatro San Bartolomeo à Naples.
Sa représentation à l'Opéra de Paris en 1752 déclencha la querelle des Bouffons.
Le sujet :
Une ambitieuse et jolie servante, Zerbine, peut-elle convaincre Pandolfe, son maître, de l’épouser ? Tel est l’enjeu de cet opéra-bouffe très distrayant et nourri de commedia dell’arte.
L’action:
Elle se situe dans l’appartement de Pandolfe et est transposée dans notre époque.
Les artistes :
Dirigés par Bernard Jourdain, accompagnés au piano par Antoine Terny, Karine Godefroy, soprano, chantera Zerbine et Marc Souchet, baryton, lui donnera la réplique dans le rôle de Pandolfe. Adrien Jourdain sera Scapin, le serviteur muet.
http://opera-cote-choeur.fr/
"La Servante Maîtresse"
Nous vous proposons le célèbre opéra-bouffe de Pergolèse, compositeur italien du XVIIIe siècle, un opéra d’environ une heure joué dans son intégralité.
La Serva padrona (La Servante maîtresse) est un intermezzo en deux parties inspiré d'une comédie de Jacopo Angello Nelli créé au Teatro San Bartolomeo à Naples.
Sa représentation à l'Opéra de Paris en 1752 déclencha la querelle des Bouffons.
Le sujet :
Une ambitieuse et jolie servante, Zerbine, peut-elle convaincre Pandolfe, son maître, de l’épouser ? Tel est l’enjeu de cet opéra-bouffe très distrayant et nourri de commedia dell’arte.
L’action:
Elle se situe dans l’appartement de Pandolfe et est transposée dans notre époque.
Les artistes :
Dirigés par Bernard Jourdain, accompagnés au piano par Antoine Terny, Karine Godefroy, soprano, chantera Zerbine et Marc Souchet, baryton, lui donnera la réplique dans le rôle de Pandolfe. Adrien Jourdain sera Scapin, le serviteur muet.
Karine Godefroy
Après une Maîtrise de Lettres, un Premier Prix de chant et un diplôme de la Guildhall School of Music (Londres), Karine travaille en troupe à Rome puis participe à l’Académie Européenne d’Aix-en-Provence. Elle interprète une trentaine de rôles tels que Rosina, Hélène, la Comtesse, Elvira, Micaëla, Siebel, Mimi, Costanza (L’Isola disabitata de Haydn) ou Clémentine (Yes ! d’Yvain).
Karine a travaillé à l’opéra de Lille, à Nantes, Rennes, Angers, Limoges, Nice, Metz, Dijon, à
l’Opéra Comique, à Reims, Bâle, Londres... Elle a chanté sous la direction de J.C. Casadesus, B. Levy, D.
Trottein, J. Deschamps, P. Caurier et Moshe Leiser, O. Desbordes, D. Abbado ou W. Christie.
Outre des récitals autour de 1900 ou de la seconde guerre, Karine a créé un seule-en-scène destiné à
être joué en appartement : La Vie humaine. Cette saison elle sera notamment Papagena et une Dame de La
Flûte enchantée puis Méphisto dans Le Petit Faust d’Hervé.
Après une Maîtrise de Lettres, un Premier Prix de chant et un diplôme de la Guildhall School of Music (Londres), Karine travaille en troupe à Rome puis participe à l’Académie Européenne d’Aix-en-Provence. Elle interprète une trentaine de rôles tels que Rosina, Hélène, la Comtesse, Elvira, Micaëla, Siebel, Mimi, Costanza (L’Isola disabitata de Haydn) ou Clémentine (Yes ! d’Yvain).
Karine a travaillé à l’opéra de Lille, à Nantes, Rennes, Angers, Limoges, Nice, Metz, Dijon, à
l’Opéra Comique, à Reims, Bâle, Londres... Elle a chanté sous la direction de J.C. Casadesus, B. Levy, D.
Trottein, J. Deschamps, P. Caurier et Moshe Leiser, O. Desbordes, D. Abbado ou W. Christie.
Outre des récitals autour de 1900 ou de la seconde guerre, Karine a créé un seule-en-scène destiné à
être joué en appartement : La Vie humaine. Cette saison elle sera notamment Papagena et une Dame de La
Flûte enchantée puis Méphisto dans Le Petit Faust d’Hervé.
Marc Souchet
Marc Souchet possède une voix de baryton puissante et chaude particulièrement bien adaptée au
répertoire italien. En quelques années, il a déjà incarné les principaux rôles verdiens (Rigoletto,
Germont, Il conte di Luna, Amonasro, Nabucco, Iago), sans oublier Marcello, Scarpia, Ping
de Puccini.
Dans l’opéra français, citons le Grand Prêtre (Samson et Dalila), Escamillo (Carmen), Ourrias
(Mireille), mais aussi Méphistophélès (Faust). Marc Souchet a enregistré Adam dans l’Eve de
Massenet sous la direction de Thierry Pélicant (disques Malibran). Pour France Musiques, il a
participé à l’émission de Gaëlle le Gallic « Dans la cour des grands ».
Ses talents de comédien reconnus lui permettent d’exceller dans Figaro d’Il Barbiere di Siviglia
ainsi que dans Bartolo, Leporello, Papageno ou le Général Boum (La grande duchesse de Gerolstein).
Le répertoire contemporain lui offre des occasions aussi variées que la création à la cathédrale de Beauvais du Requiem pour un déporté
de Chrystel Marchand ou du rôle de Karl dans l’opéra Shanti-Ntra de Minjung Woo pour le CNSM de Paris, Carmina Burana à l’Unesco, et Don
Quichotte dans El Retablo de Maese Pedro de Manuel de Falla sous la direction de Charles Dutoit, au Festival de Miyazaki au Japon.
En concert :
- le Requiem de Verdi (dir. Laurent Bauer et Edward Norton),
- La Messe Sainte Cécile de Gounod et le Te Deum de Philidor (dir. Thierry Pélicant),
- Ein Deutches Requiem de Brahms,
- La 9éme Symphonie de Beethoven,
- Paulus de Mendelssohn avec le Landesjugendorchester
- Nordrhein-Westphallen, et le Requiem de Schumann (dir. Alain Boulfroy).
Parmi ses futurs engagements : Amonasro, Orphée de Gluck (rôle titre), Bartolo du Barbier de Séville, Ramon dans Mireille,
La Passion selon Saint-Jean de Bach, la Petite Messe Solennelle de Rossini et Ein Deutches Requiem de Brahms.
Marc Souchet parfait sa technique de chant avec Jacques Chuilon à Paris.
Site web : http://www.marc-souchet.fr
Marc Souchet possède une voix de baryton puissante et chaude particulièrement bien adaptée au
répertoire italien. En quelques années, il a déjà incarné les principaux rôles verdiens (Rigoletto,
Germont, Il conte di Luna, Amonasro, Nabucco, Iago), sans oublier Marcello, Scarpia, Ping
de Puccini.
Dans l’opéra français, citons le Grand Prêtre (Samson et Dalila), Escamillo (Carmen), Ourrias
(Mireille), mais aussi Méphistophélès (Faust). Marc Souchet a enregistré Adam dans l’Eve de
Massenet sous la direction de Thierry Pélicant (disques Malibran). Pour France Musiques, il a
participé à l’émission de Gaëlle le Gallic « Dans la cour des grands ».
Ses talents de comédien reconnus lui permettent d’exceller dans Figaro d’Il Barbiere di Siviglia
ainsi que dans Bartolo, Leporello, Papageno ou le Général Boum (La grande duchesse de Gerolstein).
Le répertoire contemporain lui offre des occasions aussi variées que la création à la cathédrale de Beauvais du Requiem pour un déporté
de Chrystel Marchand ou du rôle de Karl dans l’opéra Shanti-Ntra de Minjung Woo pour le CNSM de Paris, Carmina Burana à l’Unesco, et Don
Quichotte dans El Retablo de Maese Pedro de Manuel de Falla sous la direction de Charles Dutoit, au Festival de Miyazaki au Japon.
En concert :
- le Requiem de Verdi (dir. Laurent Bauer et Edward Norton),
- La Messe Sainte Cécile de Gounod et le Te Deum de Philidor (dir. Thierry Pélicant),
- Ein Deutches Requiem de Brahms,
- La 9éme Symphonie de Beethoven,
- Paulus de Mendelssohn avec le Landesjugendorchester
- Nordrhein-Westphallen, et le Requiem de Schumann (dir. Alain Boulfroy).
Parmi ses futurs engagements : Amonasro, Orphée de Gluck (rôle titre), Bartolo du Barbier de Séville, Ramon dans Mireille,
La Passion selon Saint-Jean de Bach, la Petite Messe Solennelle de Rossini et Ein Deutches Requiem de Brahms.
Marc Souchet parfait sa technique de chant avec Jacques Chuilon à Paris.
Site web : http://www.marc-souchet.fr
Antoine Terny
Pianiste, chef de choeur
Antoine Terny valide ses acquis en obtenant en 1999 une première médaille à l'unanimité au concours centralisé de piano de la ville de Paris.
Intéressé par l'accompagnement, il intègre en 2000 le Conservatoire National de Région de Boulogne dans les classes de Raphaël Roché, Anne Leforestier et Frédéric Michel.
Il y obtient le C.F.E.M d'accompagnement mention très bien en 2001 et un premier prix à l'unanimité au D.E.M d'accompagnement en 2003.Il achève sa formation en 2006 par l'obtention du Diplôme d’Etat de professeur de musique, dans la discipline accompagnement voix et instruments.
Parallèlement il entre dans la classe d'improvisation de FrancisVidil au conservatoire deVersailles.
Pianiste soliste de talent, Antoine Terny a bénéficié des conseils de Bruno Rigutto (professeur au CNSM), Olivier Gardon (professeur au CRR Paris), Michèle Boegner (soliste internationale)...
Il remporte en 2004 le concours "Les clés d'or" de Villemomble avec le premier prix à l'unanimité.
En 2006 il remporte le concours de piano de Vulaines-sur-Seine avec le premier prix à l'unanimité et les félicitations du jury.
Il se voit décerné en 2007 le 3eme prix du concours international "Città di Padova" à Padoue en Italie.
Il donnera de nombreux récitals autour de Chopin, des compositeurs russes (Rachmaninov, Tchaikovsky...) de Bach et de Mozart en France et en Italie.
Il est actuellement professeur de piano à Ville d'Avray et Jouars-Ponchartrain ainsi que pour le comité d'entreprise d'EADS, et régulièrement demandé en tant que jury d'examens et de concours.
Il assure aussi la partie musicale de spectacles aussi divers que "La vie parisienne" d'Offenbach, "La Servante Maîtresse" de Pergolese, "Scoubidou" de Jean-Michel Damase...
Pour la scène nationale du théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines, il est chargé des répétitions musicales de différents spectacles tels que: "Le Mikado" de Gilbert et Sullivan, "Jekyll" de Raoul Lay ou encore les créations de "Katarakt" de Roland Auzet, et "Exercices de style" de Matteo Franceschini ; l'occasion de rencontres avec de grands chefs tels David Stern ou Bernard Tétu.
Pianiste, chef de choeur
Antoine Terny valide ses acquis en obtenant en 1999 une première médaille à l'unanimité au concours centralisé de piano de la ville de Paris.
Intéressé par l'accompagnement, il intègre en 2000 le Conservatoire National de Région de Boulogne dans les classes de Raphaël Roché, Anne Leforestier et Frédéric Michel.
Il y obtient le C.F.E.M d'accompagnement mention très bien en 2001 et un premier prix à l'unanimité au D.E.M d'accompagnement en 2003.Il achève sa formation en 2006 par l'obtention du Diplôme d’Etat de professeur de musique, dans la discipline accompagnement voix et instruments.
Parallèlement il entre dans la classe d'improvisation de FrancisVidil au conservatoire deVersailles.
Pianiste soliste de talent, Antoine Terny a bénéficié des conseils de Bruno Rigutto (professeur au CNSM), Olivier Gardon (professeur au CRR Paris), Michèle Boegner (soliste internationale)...
Il remporte en 2004 le concours "Les clés d'or" de Villemomble avec le premier prix à l'unanimité.
En 2006 il remporte le concours de piano de Vulaines-sur-Seine avec le premier prix à l'unanimité et les félicitations du jury.
Il se voit décerné en 2007 le 3eme prix du concours international "Città di Padova" à Padoue en Italie.
Il donnera de nombreux récitals autour de Chopin, des compositeurs russes (Rachmaninov, Tchaikovsky...) de Bach et de Mozart en France et en Italie.
Il est actuellement professeur de piano à Ville d'Avray et Jouars-Ponchartrain ainsi que pour le comité d'entreprise d'EADS, et régulièrement demandé en tant que jury d'examens et de concours.
Il assure aussi la partie musicale de spectacles aussi divers que "La vie parisienne" d'Offenbach, "La Servante Maîtresse" de Pergolese, "Scoubidou" de Jean-Michel Damase...
Pour la scène nationale du théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines, il est chargé des répétitions musicales de différents spectacles tels que: "Le Mikado" de Gilbert et Sullivan, "Jekyll" de Raoul Lay ou encore les créations de "Katarakt" de Roland Auzet, et "Exercices de style" de Matteo Franceschini ; l'occasion de rencontres avec de grands chefs tels David Stern ou Bernard Tétu.
Adrien Jourdain
Adrien Jourdain découvre et tombe amoureux du théâtre à sept ans. Pendant 15 ans, il participera à de nombreux spectacles amateurs. Le dernier en date: Le Lion en Hiver de James Goldman est sélectionné parmi les trois meilleurs spectacles d’île de France lors du Masque d’Or 2011. Parallèlement, Adrien suit des études de cinéma à l’Eicar. Il recevra le prix du Meilleur court-métrage de fin d’études des mains de Dominique Pinon. Son dernier court-métrage rallie ses deux passions : il est adapté d’un dialogue théâtral de Xavier Durringer.
Après deux ans passés à assister les réalisateurs de la chaîne de télévision Public Sénat, Adrien revient à ses premières amours et commence l'assistanat mise en scène sur des opéras. En six ans, il participe au montage de plusieurs spectacles avec différentes compagnies. Son histoire avec l'Opéra commence avec La Créole d'Offenbach monté par la compagnie des Tréteaux Lyriques.
Il travaille ensuite avec la compagnie Opéra Côté Chœur. Ensemble, ils montent Carmen de Bizet, Le Barbier de Séville de Rossini, La Traviata de Verdi et de nombreux autres Opéras. Il suivra les tournées des ces spectacles qui se joueront dans des lieux variés tels que l'espace Cardin à Paris, le Pin Galant à Mérignac, le Beffroi de Montrouge et bien d'autres.
N'oubliant pas son envie de cinéma, Adrien est engagé comme assistant réalisateur sur des longs-métrages tel que Cessez le feu d'Emmanuel Courcol avec Romain Duris ou Alice de Joséphine Mackerras.
En 2020, il met en scène sa première opérette : La Grande Duchesse de Gerolstein d’Offenbach au théâtre du Gymnase.
Adrien Jourdain découvre et tombe amoureux du théâtre à sept ans. Pendant 15 ans, il participera à de nombreux spectacles amateurs. Le dernier en date: Le Lion en Hiver de James Goldman est sélectionné parmi les trois meilleurs spectacles d’île de France lors du Masque d’Or 2011. Parallèlement, Adrien suit des études de cinéma à l’Eicar. Il recevra le prix du Meilleur court-métrage de fin d’études des mains de Dominique Pinon. Son dernier court-métrage rallie ses deux passions : il est adapté d’un dialogue théâtral de Xavier Durringer.
Après deux ans passés à assister les réalisateurs de la chaîne de télévision Public Sénat, Adrien revient à ses premières amours et commence l'assistanat mise en scène sur des opéras. En six ans, il participe au montage de plusieurs spectacles avec différentes compagnies. Son histoire avec l'Opéra commence avec La Créole d'Offenbach monté par la compagnie des Tréteaux Lyriques.
Il travaille ensuite avec la compagnie Opéra Côté Chœur. Ensemble, ils montent Carmen de Bizet, Le Barbier de Séville de Rossini, La Traviata de Verdi et de nombreux autres Opéras. Il suivra les tournées des ces spectacles qui se joueront dans des lieux variés tels que l'espace Cardin à Paris, le Pin Galant à Mérignac, le Beffroi de Montrouge et bien d'autres.
N'oubliant pas son envie de cinéma, Adrien est engagé comme assistant réalisateur sur des longs-métrages tel que Cessez le feu d'Emmanuel Courcol avec Romain Duris ou Alice de Joséphine Mackerras.
En 2020, il met en scène sa première opérette : La Grande Duchesse de Gerolstein d’Offenbach au théâtre du Gymnase.
Bernard Jourdain
Metteur en scène
Le théâtre l’a absorbé depuis l’âge de treize ans. Il s’y est adonné corps et âme pendant ses années de lycée. A vingt ans, il monte à Paris pour apprendre le métier de comédien. Il rentre aussitôt au Conservatoire National d’Art Dramatique… comme régisseur ! Il y a suivi les cours d’Antoine Vitez et assisté les élèves qui montaient des spectacles au sein de l’école (Daniel Mesguish, Patrice Kerbrat, Richard Berry). Pendant quelques années, il a été l’assistant de Jacques Rosny et de René Clermont. Il a ensuite monté sa propre compagnie et mis en scène à Paris "La Double Inconstance" de Marivaux, un spectacle Ruzzante et "Les Caprices de Marianne" de Musset. Il n’imaginait pas vivre ailleurs que sur une scène, au milieu des odeurs de poussière, de vieux bois, de gélatines brûlées et de colle à marouflage. Le sentiment qu’il éprouvait en réglant toute une nuit des éclairages pour un spectacle d’été, en voyant le soleil se lever sur Albi, Aigues-Mortes ou Carpentras, lui disait que sa vie était là, qu’il ne saurait vivre loin des planches et des comédiens donnant âme à un texte. Et pourtant, il s’est éloigné des salles de spectacle pendant trente ans pour découvrir comme réalisateur un monde assez différent mais tout aussi exaltant : le cinéma et le documentaire.
En 2003, à la demande d’un ami, il a mis en scène "Love Letters" d’Albert Gurney, dans le off à Avignon. Emmanuel Courcol venait de ranimer les braises du feu sacré…
En 2004, au Théâtre de la Tempête, dans le cadre des rencontres de la Cartoucherie, il monte "Mea Culpa", un texte d’Isabelle Huchet, sa compagne. Grâce à elle, il découvre la mise en scène d’opéra. En 2008, il monte "Candide" de Léonard Bernstein. Après une période de vertige dû au nombre de personnes qu’il devait diriger, il a mesuré sa chance, la puissance créatrice, la liberté que lui offrait la mise en scène d’opéra. En 2010, il fonde sa compagnie lyrique Opéra Côté Chœur et met en scène "Mort à Venise" de Benjamin Britten et un opéra bouffe de Gluck, "La Rencontre Imprévue", pour un festival d’été au Pays Basque.
Depuis, il a mis en scène "Monsieur Choufleuri" restera chez lui le... et "La Créole" de Jacques Offenbach, "Norma" de Bellini, "Carmen" de Bizet, "Le Barbier de Séville" de Rossini, "La Traviata" de Verdi, un spectacle autour de "Roméo et Juliette". "Orfeo ed Euridice" de Gluck, et "Didon et Enée" de Purcell.
Metteur en scène
Le théâtre l’a absorbé depuis l’âge de treize ans. Il s’y est adonné corps et âme pendant ses années de lycée. A vingt ans, il monte à Paris pour apprendre le métier de comédien. Il rentre aussitôt au Conservatoire National d’Art Dramatique… comme régisseur ! Il y a suivi les cours d’Antoine Vitez et assisté les élèves qui montaient des spectacles au sein de l’école (Daniel Mesguish, Patrice Kerbrat, Richard Berry). Pendant quelques années, il a été l’assistant de Jacques Rosny et de René Clermont. Il a ensuite monté sa propre compagnie et mis en scène à Paris "La Double Inconstance" de Marivaux, un spectacle Ruzzante et "Les Caprices de Marianne" de Musset. Il n’imaginait pas vivre ailleurs que sur une scène, au milieu des odeurs de poussière, de vieux bois, de gélatines brûlées et de colle à marouflage. Le sentiment qu’il éprouvait en réglant toute une nuit des éclairages pour un spectacle d’été, en voyant le soleil se lever sur Albi, Aigues-Mortes ou Carpentras, lui disait que sa vie était là, qu’il ne saurait vivre loin des planches et des comédiens donnant âme à un texte. Et pourtant, il s’est éloigné des salles de spectacle pendant trente ans pour découvrir comme réalisateur un monde assez différent mais tout aussi exaltant : le cinéma et le documentaire.
En 2003, à la demande d’un ami, il a mis en scène "Love Letters" d’Albert Gurney, dans le off à Avignon. Emmanuel Courcol venait de ranimer les braises du feu sacré…
En 2004, au Théâtre de la Tempête, dans le cadre des rencontres de la Cartoucherie, il monte "Mea Culpa", un texte d’Isabelle Huchet, sa compagne. Grâce à elle, il découvre la mise en scène d’opéra. En 2008, il monte "Candide" de Léonard Bernstein. Après une période de vertige dû au nombre de personnes qu’il devait diriger, il a mesuré sa chance, la puissance créatrice, la liberté que lui offrait la mise en scène d’opéra. En 2010, il fonde sa compagnie lyrique Opéra Côté Chœur et met en scène "Mort à Venise" de Benjamin Britten et un opéra bouffe de Gluck, "La Rencontre Imprévue", pour un festival d’été au Pays Basque.
Depuis, il a mis en scène "Monsieur Choufleuri" restera chez lui le... et "La Créole" de Jacques Offenbach, "Norma" de Bellini, "Carmen" de Bizet, "Le Barbier de Séville" de Rossini, "La Traviata" de Verdi, un spectacle autour de "Roméo et Juliette". "Orfeo ed Euridice" de Gluck, et "Didon et Enée" de Purcell.