L'Atelier des arts, en partenariat avec L'Art en chemin, présente :
Rita ou le mari battu
Opéra comique de Gaetano DONIZETTI
Direction musicale : Antoine Terny
Mise en scène : Adrien Jourdain
Costumes : Isabelle Huchet
avec :
Géraldine Casey, Rita
Richard Delestre, Pepe
Marc Souchet, Gasparo
Samedi 29 avril 2023 à 20h00
Dimanche 30 avril à 16h00
La Grange
2, rue Oger-le-Danois
60800 TRUMILLY
Durée : 1h10
entrée : 15,00 €
Réservation indispensable
pour le samedi 29 avril, c'est Complet !
pour le dimanche 30 avril, c'est Là
ou par téléphone 06 74 49 38 80
Créé à titre posthume à l'Opéra-Comique de Paris le 7 mai 1860, douze ans après la mort du compositeur.
Redécouvert à Rome en 1955, puis à la Scala de Piccola à Milan en 1965.
Rita est devenu l'un des opéras de Donizetti les plus joués au cours des 50 années suivantes.
Une production O p é r a C ô t é C h o e u r
http://opera-cote-choeur.fr/
Résumé :
Le livret met en scène une forte femme, Rita, aubergiste mariée à Peppe qu’elle maltraite sans façon. Arrive Gasparo, premier mari de Rita, que tout le monde croyait noyé. Gasparo pensait lui aussi que Rita était morte et il venait précisément en vue
d’obtenir un certificat de décès afin de pouvoir se remarier. Peppe veut saisir cette occasion pour se débarrasser de sa femme et rendre Rita à son époux « officiel ». Rita, en se rappelant la vie que lui faisait mener son premier mari, refuse de le suivre.
Rita et Peppe finissent par se réconcilier, et Gasparo les quitte après avoir donné à Peppe quelques conseils sur la façon de se conduire avec sa femme.
Le livret met en scène une forte femme, Rita, aubergiste mariée à Peppe qu’elle maltraite sans façon. Arrive Gasparo, premier mari de Rita, que tout le monde croyait noyé. Gasparo pensait lui aussi que Rita était morte et il venait précisément en vue
d’obtenir un certificat de décès afin de pouvoir se remarier. Peppe veut saisir cette occasion pour se débarrasser de sa femme et rendre Rita à son époux « officiel ». Rita, en se rappelant la vie que lui faisait mener son premier mari, refuse de le suivre.
Rita et Peppe finissent par se réconcilier, et Gasparo les quitte après avoir donné à Peppe quelques conseils sur la façon de se conduire avec sa femme.
La musique
L’oeuvre est courte (il s’agit d’un opéra-comique en un acte) mais bien construite et amusante. La partition comporte quelques morceaux irrésistibles, parmi lesquels le duo entre Gasparo et Peppe (il s’agit pour les deux hommes de se livrer à un jeu risqué : celui qui perdra devra garder Rita avec lui !) ou encore l’air que chante Peppe lorsqu’il
pense être débarrassé de sa femme : « Je suis joyeux comme un pinson ». C’est une partition pleine d’humour où les scènes s’enchaînent parfaitement avec une qualité constante. L’écriture harmonique est audacieuse pour l’époque. Les intentions scéniques doivent être parfaitement synchronisées à la musique.
Note de mise en scène
“Cette fable satirique offre des ressorts comiques multiples, des situations surprenantes, des dilemmes nouveaux, des conflits singuliers. Ces situations sont traitées par Donizetti avec une énergie et une vitalité jubilatoires pour un metteur en scène. Et pour son public! “
On pourrait rapprocher assez facilement ces personnages des icones de la Comédie italienne mais l’on sent bien que deux siècles les séparent et qu’ils en sont une relecture plus moderne. Rita n’est plus une servante mais la tenancière d’une auberge qui se permet de frapper son homme. Pepé a l’énergie d’un Arlequin mais il n’en a pas sa malice. Gasparo est, sans aucun doute, le double du Capitan de la Comedia del Arte mais il n’est pas un pleutre se donnant des grands airs. Il est violent de nature. Sans son intervention, il est probable que cette pièce n’aurait pas d’issue heureuse.
Pour tout comédien-chanteur, Rita est un régal car la musique de Donizetti n’est pas seulement bouiillonnante, elle est également magnifique. Avec les solistes, nous allons pouvoir dessiner des personnages hauts en couleur, à la fois drôles et touchants. En hommage à la Comédie italienne et grâce à cette proximité avec le public, nos artistes auront l’occasion d’inclure les spectateurs dans la comédie, de les prendre à parti. Pour réussir un tel pari, il fallait non seulement d’excellents chanteurs mais également des comédiens généreux.
Une comédie menée à un tel rythme se doit d’être basée sur l’énergie communicative de ses artistes !
“Cette fable satirique offre des ressorts comiques multiples, des situations surprenantes, des dilemmes nouveaux, des conflits singuliers. Ces situations sont traitées par Donizetti avec une énergie et une vitalité jubilatoires pour un metteur en scène. Et pour son public! “
On pourrait rapprocher assez facilement ces personnages des icones de la Comédie italienne mais l’on sent bien que deux siècles les séparent et qu’ils en sont une relecture plus moderne. Rita n’est plus une servante mais la tenancière d’une auberge qui se permet de frapper son homme. Pepé a l’énergie d’un Arlequin mais il n’en a pas sa malice. Gasparo est, sans aucun doute, le double du Capitan de la Comedia del Arte mais il n’est pas un pleutre se donnant des grands airs. Il est violent de nature. Sans son intervention, il est probable que cette pièce n’aurait pas d’issue heureuse.
Pour tout comédien-chanteur, Rita est un régal car la musique de Donizetti n’est pas seulement bouiillonnante, elle est également magnifique. Avec les solistes, nous allons pouvoir dessiner des personnages hauts en couleur, à la fois drôles et touchants. En hommage à la Comédie italienne et grâce à cette proximité avec le public, nos artistes auront l’occasion d’inclure les spectateurs dans la comédie, de les prendre à parti. Pour réussir un tel pari, il fallait non seulement d’excellents chanteurs mais également des comédiens généreux.
Une comédie menée à un tel rythme se doit d’être basée sur l’énergie communicative de ses artistes !
Antoine Terny
Directeur musical
Antoine Terny valide ses acquis en obtenant en 1999 une première médaille à l'unanimité au concours centralisé de piano de la ville de Paris.
Intéressé par l'accompagnement, il intègre en 2000 le Conservatoire National de Région de Boulogne dans les classes de Raphaël Roché, Anne Leforestier et Frédéric Michel.
Il y obtient le C.F.E.M d'accompagnement mention très bien en 2001 et un premier prix à l'unanimité au D.E.M d'accompagnement en 2003.Il achève sa formation en 2006 par l'obtention du Diplôme d’Etat de professeur de musique, dans la discipline accompagnement voix et instruments.
Parallèlement il entre dans la classe d'improvisation de FrancisVidil au conservatoire deVersailles.
Pianiste soliste de talent, Antoine Terny a bénéficié des conseils de Bruno Rigutto (professeur au CNSM), Olivier Gardon (professeur au CRR Paris), Michèle Boegner (soliste internationale)...
Il remporte en 2004 le concours "Les clés d'or" de Villemomble avec le premier prix à l'unanimité.
En 2006 il remporte le concours de piano de Vulaines-sur-Seine avec le premier prix à l'unanimité et les félicitations du jury.
Il se voit décerné en 2007 le 3eme prix du concours international "Città di Padova" à Padoue en Italie.
Il donnera de nombreux récitals autour de Chopin, des compositeurs russes (Rachmaninov, Tchaikovsky...) de Bach et de Mozart en France et en Italie.
Il est actuellement professeur de piano à Ville d'Avray et Jouars-Ponchartrain ainsi que pour le comité d'entreprise d'EADS, et régulièrement demandé en tant que jury d'examens et de concours.
Il assure aussi la partie musicale de spectacles aussi divers que "La vie parisienne" d'Offenbach, "La Servante Maîtresse" de Pergolese, "Scoubidou" de Jean-Michel Damase...
Pour la scène nationale du théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines, il est chargé des répétitions musicales de différents spectacles tels que: "Le Mikado" de Gilbert et Sullivan, "Jekyll" de Raoul Lay ou encore les créations de "Katarakt" de Roland Auzet, et "Exercices de style" de Matteo Franceschini ; l'occasion de rencontres avec de grands chefs tels David Stern ou Bernard Tétu.
Directeur musical
Antoine Terny valide ses acquis en obtenant en 1999 une première médaille à l'unanimité au concours centralisé de piano de la ville de Paris.
Intéressé par l'accompagnement, il intègre en 2000 le Conservatoire National de Région de Boulogne dans les classes de Raphaël Roché, Anne Leforestier et Frédéric Michel.
Il y obtient le C.F.E.M d'accompagnement mention très bien en 2001 et un premier prix à l'unanimité au D.E.M d'accompagnement en 2003.Il achève sa formation en 2006 par l'obtention du Diplôme d’Etat de professeur de musique, dans la discipline accompagnement voix et instruments.
Parallèlement il entre dans la classe d'improvisation de FrancisVidil au conservatoire deVersailles.
Pianiste soliste de talent, Antoine Terny a bénéficié des conseils de Bruno Rigutto (professeur au CNSM), Olivier Gardon (professeur au CRR Paris), Michèle Boegner (soliste internationale)...
Il remporte en 2004 le concours "Les clés d'or" de Villemomble avec le premier prix à l'unanimité.
En 2006 il remporte le concours de piano de Vulaines-sur-Seine avec le premier prix à l'unanimité et les félicitations du jury.
Il se voit décerné en 2007 le 3eme prix du concours international "Città di Padova" à Padoue en Italie.
Il donnera de nombreux récitals autour de Chopin, des compositeurs russes (Rachmaninov, Tchaikovsky...) de Bach et de Mozart en France et en Italie.
Il est actuellement professeur de piano à Ville d'Avray et Jouars-Ponchartrain ainsi que pour le comité d'entreprise d'EADS, et régulièrement demandé en tant que jury d'examens et de concours.
Il assure aussi la partie musicale de spectacles aussi divers que "La vie parisienne" d'Offenbach, "La Servante Maîtresse" de Pergolese, "Scoubidou" de Jean-Michel Damase...
Pour la scène nationale du théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines, il est chargé des répétitions musicales de différents spectacles tels que: "Le Mikado" de Gilbert et Sullivan, "Jekyll" de Raoul Lay ou encore les créations de "Katarakt" de Roland Auzet, et "Exercices de style" de Matteo Franceschini ; l'occasion de rencontres avec de grands chefs tels David Stern ou Bernard Tétu.
Adrien Jourdain, metteur en scène
Adrien Jourdain découvre et tombe amoureux du théâtre à sept ans. Pendant 15 ans, il participera à de nombreux spectacles amateurs. Le dernier en date: Le Lion en Hiver de James Goldman est sélectionné parmi les trois meilleurs spectacles d’île de France lors du Masque d’Or 2011. Parallèlement, Adrien suit des études de cinéma à l’Eicar. Il recevra le prix du Meilleur court-métrage de fin d’études des mains de Dominique Pinon. Son dernier court-métrage rallie ses deux passions : il est adapté d’un dialogue théâtral de Xavier Durringer.
Après deux ans passés à assister les réalisateurs de la chaîne de télévision Public Sénat, Adrien revient à ses premières amours et commence l'assistanat mise en scène sur des opéras. En six ans, il participe au montage de plusieurs spectacles avec différentes compagnies. Son histoire avec l'Opéra commence avec La Créole d'Offenbach monté par la compagnie des Tréteaux Lyriques.
Il travaille ensuite avec la compagnie Opéra Côté Chœur. Ensemble, ils montent Carmen de Bizet, Le Barbier de Séville de Rossini, La Traviata de Verdi et de nombreux autres Opéras. Il suivra les tournées des ces spectacles qui se joueront dans des lieux variés tels que l'espace Cardin à Paris, le Pin Galant à Mérignac, le Beffroi de Montrouge et bien d'autres.
N'oubliant pas son envie de cinéma, Adrien est engagé comme assistant réalisateur sur des longs-métrages tel que Cessez le feu d'Emmanuel Courcol avec Romain Duris ou Alice de Joséphine Mackerras.
En 2020, il met en scène sa première opérette : La Grande Duchesse de Gerolstein d’Offenbach au théâtre du Gymnase.
En 2021, il met en scène "Samson et Dalila" de Camille Saint-Saëns au théâtre de la Madeleine et signe en 2023 la mise en scène de "Carmen" au théâtre du 13è Art à Paris et en tournée en France.
Adrien Jourdain découvre et tombe amoureux du théâtre à sept ans. Pendant 15 ans, il participera à de nombreux spectacles amateurs. Le dernier en date: Le Lion en Hiver de James Goldman est sélectionné parmi les trois meilleurs spectacles d’île de France lors du Masque d’Or 2011. Parallèlement, Adrien suit des études de cinéma à l’Eicar. Il recevra le prix du Meilleur court-métrage de fin d’études des mains de Dominique Pinon. Son dernier court-métrage rallie ses deux passions : il est adapté d’un dialogue théâtral de Xavier Durringer.
Après deux ans passés à assister les réalisateurs de la chaîne de télévision Public Sénat, Adrien revient à ses premières amours et commence l'assistanat mise en scène sur des opéras. En six ans, il participe au montage de plusieurs spectacles avec différentes compagnies. Son histoire avec l'Opéra commence avec La Créole d'Offenbach monté par la compagnie des Tréteaux Lyriques.
Il travaille ensuite avec la compagnie Opéra Côté Chœur. Ensemble, ils montent Carmen de Bizet, Le Barbier de Séville de Rossini, La Traviata de Verdi et de nombreux autres Opéras. Il suivra les tournées des ces spectacles qui se joueront dans des lieux variés tels que l'espace Cardin à Paris, le Pin Galant à Mérignac, le Beffroi de Montrouge et bien d'autres.
N'oubliant pas son envie de cinéma, Adrien est engagé comme assistant réalisateur sur des longs-métrages tel que Cessez le feu d'Emmanuel Courcol avec Romain Duris ou Alice de Joséphine Mackerras.
En 2020, il met en scène sa première opérette : La Grande Duchesse de Gerolstein d’Offenbach au théâtre du Gymnase.
En 2021, il met en scène "Samson et Dalila" de Camille Saint-Saëns au théâtre de la Madeleine et signe en 2023 la mise en scène de "Carmen" au théâtre du 13è Art à Paris et en tournée en France.
Géraldine Casey
Passionnée de chant depuis ses 3 ans, diplômée de l’ESCP et Sciences Po Paris, elle commence le chant lyrique à 16 ans avec Tania GEDDA au Conservatoire Serge Rachmaninov de Paris. Elle obtient ses Diplômes : Supérieur d'Exécution, Concertiste puis Excellence auprès d'Anne-Marie RODDE et de Jean-Philippe LAFONT à l'Ecole Normale de Musique de Paris. Boursière de la Fondation Zaleski, soliste recommandée par le Centre de Musique Baroque de Versailles, elle travaille avec Gundula JANOWITZ, Leo NUCCI, Yvonne MINTON, Nadine DENIZE, Jeff COHEN, Ludovic TEZIER et remporte plusieurs concours : Excellence de l’UPMCF et Concours de Rieumes-Gascogne. Elle se perfectionne actuellement auprès de Regina WERNER à la Hohschule de Leipzig.
Régulièrement engagée en oratorio (Bach, Haendel, Haydn, Mozart, Rossini, Mendelssohn, Brahms, Mahler), elle se produit en récital aussi bien en France (Journées Lyriques de Chartres, Orangerie de Sceaux, Festivals d’Auvers-sur-Oise, du Lubéron, de Saintes, Classique au Large, Palais Fesch d’Ajaccio) qu’à l'étranger (Nuits Blanches de StPétersbourg, Festival S.Richter de Tarussa-Russie, sous la baguette d'Alexeï UTKIN des Virtuoses de Moscou, Crans-Montana, Santander, Castels de Catalunya, Munich, Varsovie, Beyrouth, Alger, Oran).
Passionnée de chant depuis ses 3 ans, diplômée de l’ESCP et Sciences Po Paris, elle commence le chant lyrique à 16 ans avec Tania GEDDA au Conservatoire Serge Rachmaninov de Paris. Elle obtient ses Diplômes : Supérieur d'Exécution, Concertiste puis Excellence auprès d'Anne-Marie RODDE et de Jean-Philippe LAFONT à l'Ecole Normale de Musique de Paris. Boursière de la Fondation Zaleski, soliste recommandée par le Centre de Musique Baroque de Versailles, elle travaille avec Gundula JANOWITZ, Leo NUCCI, Yvonne MINTON, Nadine DENIZE, Jeff COHEN, Ludovic TEZIER et remporte plusieurs concours : Excellence de l’UPMCF et Concours de Rieumes-Gascogne. Elle se perfectionne actuellement auprès de Regina WERNER à la Hohschule de Leipzig.
Régulièrement engagée en oratorio (Bach, Haendel, Haydn, Mozart, Rossini, Mendelssohn, Brahms, Mahler), elle se produit en récital aussi bien en France (Journées Lyriques de Chartres, Orangerie de Sceaux, Festivals d’Auvers-sur-Oise, du Lubéron, de Saintes, Classique au Large, Palais Fesch d’Ajaccio) qu’à l'étranger (Nuits Blanches de StPétersbourg, Festival S.Richter de Tarussa-Russie, sous la baguette d'Alexeï UTKIN des Virtuoses de Moscou, Crans-Montana, Santander, Castels de Catalunya, Munich, Varsovie, Beyrouth, Alger, Oran).
Richard Delestre, ténor
Comédien, Chanteur lyrique, Metteur en scène
Conjointement à des études d’ingénieur à l’École Spéciale des Travaux Publics, Richard Delestre s’est formé au conservatoire du Vème et du XVème arrondissement de Paris et avec Jacqueline Duc. Il travaille avec la compagnie Colette Roumanoff, et la compagnie de la Reine (Jean-Daniel Laval).
Il participe à de nombreux spectacles de rue avec la compagnie OPOSITO dont un opéra de rue déambulatoire dans le cadre de Lille 2004, capitale européenne de la culture.
Ténor, formé au chant lyrique au conservatoire du XVIIème arrondissement de Paris puis auprès de Martine Surais, il chante dans diverses productions.
Il s’investit également dans des prestations de théâtre en entreprise en tant que comédien et scénariste autour de thématiques propres au monde du travail telles que: le handicap, la discrimination, l’égalité homme- femme, la gestion du conflit, la prise de parole en public, ...
Il signe la mise en scène de "Pour un oui ou pour un non", joué à la Grange en 2019.
Comédien, Chanteur lyrique, Metteur en scène
Conjointement à des études d’ingénieur à l’École Spéciale des Travaux Publics, Richard Delestre s’est formé au conservatoire du Vème et du XVème arrondissement de Paris et avec Jacqueline Duc. Il travaille avec la compagnie Colette Roumanoff, et la compagnie de la Reine (Jean-Daniel Laval).
Il participe à de nombreux spectacles de rue avec la compagnie OPOSITO dont un opéra de rue déambulatoire dans le cadre de Lille 2004, capitale européenne de la culture.
Ténor, formé au chant lyrique au conservatoire du XVIIème arrondissement de Paris puis auprès de Martine Surais, il chante dans diverses productions.
Il s’investit également dans des prestations de théâtre en entreprise en tant que comédien et scénariste autour de thématiques propres au monde du travail telles que: le handicap, la discrimination, l’égalité homme- femme, la gestion du conflit, la prise de parole en public, ...
Il signe la mise en scène de "Pour un oui ou pour un non", joué à la Grange en 2019.
Marc Souchet
Marc Souchet possède une voix de baryton puissante et chaude particulièrement bien adaptée au répertoire italien. En quelques années, il a déjà incarné les principaux rôles verdiens (Rigoletto, Germont, Il conte di Luna, Amonasro, Nabucco, Iago), sans oublier Marcello, Scarpia, Ping de Puccini.
Dans l’opéra français, citons le Grand Prêtre (Samson et Dalila), Escamillo (Carmen), Ourrias (Mireille), mais aussi Méphistophélès (Faust). Marc Souchet a enregistré Adam dans l’Eve de Massenet sous la direction de Thierry Pélicant (disques Malibran). Pour France Musiques, il a participé à l’émission de Gaëlle le Gallic « Dans la cour des grands ».
Ses talents de comédien reconnus lui permettent d’exceller dans Figaro d’Il Barbiere di Siviglia ainsi que dans Bartolo, Leporello, Papageno ou le Général Boum (La grande duchesse de Gerolstein).
Le répertoire contemporain lui offre des occasions aussi variées que la création à la cathédrale de Beauvais du Requiem pour un déporté de Chrystel Marchand ou du rôle de Karl dans l’opéra Shanti-Ntra de Minjung Woo pour le CNSM de Paris, Carmina Burana à l’Unesco, et Don Quichotte dans El Retablo de Maese Pedro de Manuel de Falla sous la direction de Charles Dutoit, au Festival de Miyazaki au Japon.
En concert :
- le Requiem de Verdi (dir. Laurent Bauer et Edward Norton),
- La Messe Sainte Cécile de Gounod et le Te Deum de Philidor (dir. Thierry Pélicant),
- Ein Deutches Requiem de Brahms,
- La 9éme Symphonie de Beethoven,
- Paulus de Mendelssohn avec le Landesjugendorchester
- Nordrhein-Westphallen, et le Requiem de Schumann (dir. Alain Boulfroy).
Parmi ses futurs engagements : Amonasro, Orphée de Gluck (rôle titre), Bartolo du Barbier de Séville, Ramon dans Mireille,
La Passion selon Saint-Jean de Bach, la Petite Messe Solennelle de Rossini et Ein Deutches Requiem de Brahms.
Marc Souchet parfait sa technique de chant avec Jacques Chuilon à Paris.
Site web : http://www.marc-souchet.fr
Marc Souchet possède une voix de baryton puissante et chaude particulièrement bien adaptée au répertoire italien. En quelques années, il a déjà incarné les principaux rôles verdiens (Rigoletto, Germont, Il conte di Luna, Amonasro, Nabucco, Iago), sans oublier Marcello, Scarpia, Ping de Puccini.
Dans l’opéra français, citons le Grand Prêtre (Samson et Dalila), Escamillo (Carmen), Ourrias (Mireille), mais aussi Méphistophélès (Faust). Marc Souchet a enregistré Adam dans l’Eve de Massenet sous la direction de Thierry Pélicant (disques Malibran). Pour France Musiques, il a participé à l’émission de Gaëlle le Gallic « Dans la cour des grands ».
Ses talents de comédien reconnus lui permettent d’exceller dans Figaro d’Il Barbiere di Siviglia ainsi que dans Bartolo, Leporello, Papageno ou le Général Boum (La grande duchesse de Gerolstein).
Le répertoire contemporain lui offre des occasions aussi variées que la création à la cathédrale de Beauvais du Requiem pour un déporté de Chrystel Marchand ou du rôle de Karl dans l’opéra Shanti-Ntra de Minjung Woo pour le CNSM de Paris, Carmina Burana à l’Unesco, et Don Quichotte dans El Retablo de Maese Pedro de Manuel de Falla sous la direction de Charles Dutoit, au Festival de Miyazaki au Japon.
En concert :
- le Requiem de Verdi (dir. Laurent Bauer et Edward Norton),
- La Messe Sainte Cécile de Gounod et le Te Deum de Philidor (dir. Thierry Pélicant),
- Ein Deutches Requiem de Brahms,
- La 9éme Symphonie de Beethoven,
- Paulus de Mendelssohn avec le Landesjugendorchester
- Nordrhein-Westphallen, et le Requiem de Schumann (dir. Alain Boulfroy).
Parmi ses futurs engagements : Amonasro, Orphée de Gluck (rôle titre), Bartolo du Barbier de Séville, Ramon dans Mireille,
La Passion selon Saint-Jean de Bach, la Petite Messe Solennelle de Rossini et Ein Deutches Requiem de Brahms.
Marc Souchet parfait sa technique de chant avec Jacques Chuilon à Paris.
Site web : http://www.marc-souchet.fr
Isabelle Huchet
Scénographie, Costumes
Scénographe diplômée de l’ENSATT en 1977, Isabelle Huchet travaille depuis plus de quarante ans pour le théâtre, la télévision, l’évènementiel. Ces vingt dernières années ont été consacrées aux opéras et plus généralement aux œuvres scéniques à caractère musical.
Les metteurs en scène avec qui elle collabore lui demandent principalement des décors construits et épurés, et des costumes dégagés de toute entrave réaliste. Son inspiration puise dans l’histoire du costume et de l’architecture de tous les pays du monde.
Isabelle Huchet a conçu les scénographies des opéras les plus connus (Carmen, Traviata, Orphée et Eurydice, Norma …) mais aussi des créations contemporaines commandées par la Réunion des Théâtres Lyriques Nationaux.
Scénographie, Costumes
Scénographe diplômée de l’ENSATT en 1977, Isabelle Huchet travaille depuis plus de quarante ans pour le théâtre, la télévision, l’évènementiel. Ces vingt dernières années ont été consacrées aux opéras et plus généralement aux œuvres scéniques à caractère musical.
Les metteurs en scène avec qui elle collabore lui demandent principalement des décors construits et épurés, et des costumes dégagés de toute entrave réaliste. Son inspiration puise dans l’histoire du costume et de l’architecture de tous les pays du monde.
Isabelle Huchet a conçu les scénographies des opéras les plus connus (Carmen, Traviata, Orphée et Eurydice, Norma …) mais aussi des créations contemporaines commandées par la Réunion des Théâtres Lyriques Nationaux.