Votre avis nous est précieux
Nous vous serions très reconnaissants de nous écrire quelques lignes sur cette entreprise culturelle un peu folle et sur les spectacles que vous avez vus durant ces dernières années.
Cela nous permettra de les transmettre aux artistes qui nous ont offert leur talent et leur créativité.
Mais aussi de faire valoir l'intérêt de notre initiative auprès des institutions susceptibles de nous subventionner, car nous ne pourrons pas tenir plus longtemps sans aide financière.
Merci beaucoup de prendre quelques minutes pour nous envoyer votre commentaire
- soit sur notre adresse mail : [email protected]
- soit en remplissant le formulaire "Contact" dans "Infos pratiques"
Nous le reporterons ci-dessous dans le Livre d'Or de L'Atelier des arts..
Nous comptons sur votre solidarité et vos réponses.
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1er septembre 2024
QUAND MêME
Quel spectacle !
Du haut nveau dans ce petit coin de l'Oise ! Un texte superbe de Danièle Sallenave sur la vocation et les difficultés du métier de comédien, porté par Marie-Catherine Conti, sereine, au ton juste et au regard profond. Elle s'approprie avec maîtrise les phrases, les mots égarés, les enchaînements interrompus sans jamais perdre le fil conducteur ni la complicité avec le spectateur un peu ébahi... mais admiratif !
Bravo !
Ghislaine Bockhoff - Senlis
QUAND MêME
Quel spectacle !
Du haut nveau dans ce petit coin de l'Oise ! Un texte superbe de Danièle Sallenave sur la vocation et les difficultés du métier de comédien, porté par Marie-Catherine Conti, sereine, au ton juste et au regard profond. Elle s'approprie avec maîtrise les phrases, les mots égarés, les enchaînements interrompus sans jamais perdre le fil conducteur ni la complicité avec le spectateur un peu ébahi... mais admiratif !
Bravo !
Ghislaine Bockhoff - Senlis
18 octobre 2023
LA ROBE DE MARIÉE
Habituellement, lorsque je vais voir un spectacle, je me renseigne au sujet de l’auteur et des contextes, époque, lieu, genre…
Cette fois-ci, j’ai eu envie d’arriver vierge à cette représentation dont j’ignorais à peu près tout, excepté qu’il s’agissait d’un monologue et que l’action se déroulait dans un hôpital psychiatrique.
Je souhaitais pouvoir m’immerger plus totalement dans un univers inconnu qui fait habituellement peur aux bien portants, parce qu’il échappe à un esprit raisonneur.
Quand la pensée d’autrui n’est pas accessible, sans logique, et que les sautes d’humeurs s’accumulent, on se sent rapidement étranger…
Déconcertée au départ par l’alternance des tons dramatiques, enjoués, apeurés, excités, apathiques…, je me suis vite sentie happée par le jeu de Marie-Catherine, émouvant et plein de silences qui en disent long sur l’état d’esprit de Marguerite, une femme à la fois schizophrène et paranoïaque, internée dans un asile psychiatrique encore très archaïque. Marie-Catherine réussit la gageure de faire vivre toutes les femmes qui vivent en Marguerite : le ton, le débit de la parole, la gestuelle, les regards…
A travers elle, on perçoit très nettement la multitude de détails qui s’échappent dans le quotidien d’un monde ordinaire mais qui font sens pour le malade mental à fleur de peau : les organes sensoriels sont exacerbés, celui du toucher du linge, celui du bruit que font les chaises en raclant le sol, les cris, … On prend aussi conscience de la nécessité pour les internés de se forger des repaires dans un temps qui file sans laisser de traces, de s’approprier un objet, vain parfois, mais qui permet de s’accrocher à quelque chose, de l’obsession salvatrice car elle est seule à offrir la possibilité de s’évader de l’enfermement
Pour Marguerite, il s’agit de la fabrication d’une impossible robe de mariée patiemment cousue avec des fils tirés de vieux draps…
… Non, Marguerite n’est pas l’étrangère qu’on croyait. Introduits par effraction dans sa pensée, nous nous apercevons soudain que celle-ci est finalement très cohérente.
Il suffit d’en suivre le cours...
Une pièce poignante de réalisme à regarder sans à priori pour mieux pénétrer un espace habituellement inaccessible aux « gens sains d’esprit », comme on dit…
Chantal Keraudren
LA ROBE DE MARIÉE
Habituellement, lorsque je vais voir un spectacle, je me renseigne au sujet de l’auteur et des contextes, époque, lieu, genre…
Cette fois-ci, j’ai eu envie d’arriver vierge à cette représentation dont j’ignorais à peu près tout, excepté qu’il s’agissait d’un monologue et que l’action se déroulait dans un hôpital psychiatrique.
Je souhaitais pouvoir m’immerger plus totalement dans un univers inconnu qui fait habituellement peur aux bien portants, parce qu’il échappe à un esprit raisonneur.
Quand la pensée d’autrui n’est pas accessible, sans logique, et que les sautes d’humeurs s’accumulent, on se sent rapidement étranger…
Déconcertée au départ par l’alternance des tons dramatiques, enjoués, apeurés, excités, apathiques…, je me suis vite sentie happée par le jeu de Marie-Catherine, émouvant et plein de silences qui en disent long sur l’état d’esprit de Marguerite, une femme à la fois schizophrène et paranoïaque, internée dans un asile psychiatrique encore très archaïque. Marie-Catherine réussit la gageure de faire vivre toutes les femmes qui vivent en Marguerite : le ton, le débit de la parole, la gestuelle, les regards…
A travers elle, on perçoit très nettement la multitude de détails qui s’échappent dans le quotidien d’un monde ordinaire mais qui font sens pour le malade mental à fleur de peau : les organes sensoriels sont exacerbés, celui du toucher du linge, celui du bruit que font les chaises en raclant le sol, les cris, … On prend aussi conscience de la nécessité pour les internés de se forger des repaires dans un temps qui file sans laisser de traces, de s’approprier un objet, vain parfois, mais qui permet de s’accrocher à quelque chose, de l’obsession salvatrice car elle est seule à offrir la possibilité de s’évader de l’enfermement
Pour Marguerite, il s’agit de la fabrication d’une impossible robe de mariée patiemment cousue avec des fils tirés de vieux draps…
… Non, Marguerite n’est pas l’étrangère qu’on croyait. Introduits par effraction dans sa pensée, nous nous apercevons soudain que celle-ci est finalement très cohérente.
Il suffit d’en suivre le cours...
Une pièce poignante de réalisme à regarder sans à priori pour mieux pénétrer un espace habituellement inaccessible aux « gens sains d’esprit », comme on dit…
Chantal Keraudren
25 septembre 2023
« Quel homme que ce père Hugo ! […] Le père Hugo m’a mis la boule à l’envers » ( Correspondance de Flaubert 1859, lettre à Ernest Feydeau après la lecture des deux premiers volumes de La Légende des Siècles)
Le dernier spectacle de la saison 2023 de l’Atelier des Arts à La Grange et un projet
ambitieux : nous mettre (ou nous remettre) entre les deux oreilles quelques magnifiques
extraits de cette œuvre colossale qu’est La légende des siècles de Victor Hugo et, tout
comme Flaubert, ces lectures nous ont mis « la boule à l’envers ».
Avouons-le, un grand nombre de spectateurs n’avaient en tête que quelques réminiscences
scolaires et vaguement ennuyeuses de Booz endormi ou de la fameuse Conscience qui
poursuivit Caïn jusque dans la tombe. Mais la confiance dans la qualité de la sélection des
spectacles et la curiosité littéraire ne nous ont pas fait regretter le déplacement.
La préface de Victor Hugo donne la teneur de cet énorme projet :
J’eus un rêve : le mur des siècles m’apparut.
C’était de la chair vive avec du granit brut,
Une immobilité faite d’inquiétude,
Un édifice ayant un bruit de multitude,
Des trous noirs étoilés par de farouches yeux,
Des évolutions de groupes monstrueux,
De vastes bas-reliefs, des fresques colossales …
Le ton est donné mais Laurence Campet, metteuse en scène et actrice, et Antoine Doignon
ne se sont pas laissés impressionner et nous ont prouvé que cette œuvre « se prête tout à
fait bien au butinage » !
Pari tenu, les spectateurs se sont laissés emporter par la musique des alexandrins. Sensibles
aux silences, aux nuances, à la fluidité de la langue, aux accents parfois tonitruants de
l’épopée, à la douceur des portraits de « pauvres gens » généreux jusqu’à l’oubli d’eux-
mêmes, à l’humanité profonde du regard porté sur la versatilité des foules quand la voix
d’un enfant fait basculer le destin d’un homme prêt à accepter son châtiment.
Hugo s’empare de sa vision de l’histoire de l’homme tout en nous prévenant que cette
œuvre «c’est de l’histoire écoutée aux portes de la légende » et le choix judicieux des
extraits nous donnent un aperçu de la liberté de l’auteur évoluant entre l’épopée héroïque
(le combat de Roland et d’Olivier et la chute inattendue où après cinq jours de combat
acharné, Olivier propose de solder le différend qui les oppose en proposant à Roland
d’épouser sa sœur, la belle Aude !), la satire, les moments de vie de ceux que l’on ne voit
pas, le bien, le mal, la légende et l’espoir en l’humanité dans sa longue marche vers un futur
meilleur.
Dans une mise en scène sobre et un décor dépouillé, le duo d’acteurs nous promène avec
subtilité et jubilation dans le monde visionnaire d’un très grand auteur classique qu’il
parvient à nous rendre étonnamment moderne en mettant en lumière les aspects très
visuels de La légende, son sens du mouvement, de la posture, des contrastes, qui, alliés au
rythme et à la musicalité de la langue versifiée, peuvent faire surgir des analogies avec le
slam, l’heroic fantasy et la bande dessinée.
Intemporel le père Hugo ?
Joëlle Frémont
« Quel homme que ce père Hugo ! […] Le père Hugo m’a mis la boule à l’envers » ( Correspondance de Flaubert 1859, lettre à Ernest Feydeau après la lecture des deux premiers volumes de La Légende des Siècles)
Le dernier spectacle de la saison 2023 de l’Atelier des Arts à La Grange et un projet
ambitieux : nous mettre (ou nous remettre) entre les deux oreilles quelques magnifiques
extraits de cette œuvre colossale qu’est La légende des siècles de Victor Hugo et, tout
comme Flaubert, ces lectures nous ont mis « la boule à l’envers ».
Avouons-le, un grand nombre de spectateurs n’avaient en tête que quelques réminiscences
scolaires et vaguement ennuyeuses de Booz endormi ou de la fameuse Conscience qui
poursuivit Caïn jusque dans la tombe. Mais la confiance dans la qualité de la sélection des
spectacles et la curiosité littéraire ne nous ont pas fait regretter le déplacement.
La préface de Victor Hugo donne la teneur de cet énorme projet :
J’eus un rêve : le mur des siècles m’apparut.
C’était de la chair vive avec du granit brut,
Une immobilité faite d’inquiétude,
Un édifice ayant un bruit de multitude,
Des trous noirs étoilés par de farouches yeux,
Des évolutions de groupes monstrueux,
De vastes bas-reliefs, des fresques colossales …
Le ton est donné mais Laurence Campet, metteuse en scène et actrice, et Antoine Doignon
ne se sont pas laissés impressionner et nous ont prouvé que cette œuvre « se prête tout à
fait bien au butinage » !
Pari tenu, les spectateurs se sont laissés emporter par la musique des alexandrins. Sensibles
aux silences, aux nuances, à la fluidité de la langue, aux accents parfois tonitruants de
l’épopée, à la douceur des portraits de « pauvres gens » généreux jusqu’à l’oubli d’eux-
mêmes, à l’humanité profonde du regard porté sur la versatilité des foules quand la voix
d’un enfant fait basculer le destin d’un homme prêt à accepter son châtiment.
Hugo s’empare de sa vision de l’histoire de l’homme tout en nous prévenant que cette
œuvre «c’est de l’histoire écoutée aux portes de la légende » et le choix judicieux des
extraits nous donnent un aperçu de la liberté de l’auteur évoluant entre l’épopée héroïque
(le combat de Roland et d’Olivier et la chute inattendue où après cinq jours de combat
acharné, Olivier propose de solder le différend qui les oppose en proposant à Roland
d’épouser sa sœur, la belle Aude !), la satire, les moments de vie de ceux que l’on ne voit
pas, le bien, le mal, la légende et l’espoir en l’humanité dans sa longue marche vers un futur
meilleur.
Dans une mise en scène sobre et un décor dépouillé, le duo d’acteurs nous promène avec
subtilité et jubilation dans le monde visionnaire d’un très grand auteur classique qu’il
parvient à nous rendre étonnamment moderne en mettant en lumière les aspects très
visuels de La légende, son sens du mouvement, de la posture, des contrastes, qui, alliés au
rythme et à la musicalité de la langue versifiée, peuvent faire surgir des analogies avec le
slam, l’heroic fantasy et la bande dessinée.
Intemporel le père Hugo ?
Joëlle Frémont
20 août 2022
Quelle bonne et belle aventure que celle lancée par Marie-Catherine Conti avec L'atelier des Arts à la Grange !
Pour ma part je n'oublierai pas la façon dont Berlin-33, le monologue que j'ai adapté du livre de Sebastian Haffner, à été reçu par le public de cette grange. C'était une soirée pluvieuse dont nous avons craint un moment qu'elle rebute le public. Et nous avons été, avec ma metteuse en scène Laurence Campet, enchantés par l'accueil de ce public nombreux, attentif et chaleureux.
Ce qui était en jeu une fois de plus, nous a-t-il semblé, c'était l'art du théâtre dans sa capacité singulière à ouvrir une fenêtre sur la complexité de notre monde. Et nul doute que la grange dans sa simplicité essentielle aidait à porter loin ce regard !
Grâces en soient rendues à Marie-Catherine et à ceux qui l'entourent en espérant qu'ils porteront le plus loin possible leur beau projet.
René Loyon, comédien et metteur en scène
Quelle bonne et belle aventure que celle lancée par Marie-Catherine Conti avec L'atelier des Arts à la Grange !
Pour ma part je n'oublierai pas la façon dont Berlin-33, le monologue que j'ai adapté du livre de Sebastian Haffner, à été reçu par le public de cette grange. C'était une soirée pluvieuse dont nous avons craint un moment qu'elle rebute le public. Et nous avons été, avec ma metteuse en scène Laurence Campet, enchantés par l'accueil de ce public nombreux, attentif et chaleureux.
Ce qui était en jeu une fois de plus, nous a-t-il semblé, c'était l'art du théâtre dans sa capacité singulière à ouvrir une fenêtre sur la complexité de notre monde. Et nul doute que la grange dans sa simplicité essentielle aidait à porter loin ce regard !
Grâces en soient rendues à Marie-Catherine et à ceux qui l'entourent en espérant qu'ils porteront le plus loin possible leur beau projet.
René Loyon, comédien et metteur en scène
13 septembre 2021
"La robe de mariée"
Une rencontre entre un auteur, une metteure en scène et son assistant, une musicienne et une comédienne pour un
spectacle poignant qui laisse le spectateur KO debout.
La Robe de Mariée nous restitue le parcours d’une femme internée en hôpital psychiatrique à l’âge
de 41 ans qui pour tromper sa solitude, son ennui et ses souffrances se réfugie dans le rêve
improbable d’une rencontre avec le « Prince Charmant » qui la choisira entre toutes et l’arrachera à
son enfer quotidien.
Mystère et étrangeté d’un monde irrationnel entre délire et lucidité, nécessité de trouver dans un
univers concentrationnaire l’échappatoire qui permet de survivre. Pour Marguerite Sirvins, âgée de
55 ans mais persuadée qu’elle n’en a que 18, ce sera la confection de sa robe de mariée. Réalisée
avec les moyens du bord à partir de matériaux de récupération sous forme de draps usés (tellement
plus doux que le tissu rêche des draps neufs dira-t-elle), dont elle tire patiemment les fils qu’elle
tissera jour après jour pour en faire une extraordinaire ouvrage de dentelle que l’artiste Jean
Dubuffet distinguera comme une œuvre majeure de l’art brut, œuvre que le public peut admirer au
musée de Lausanne.
Katherine Battaiellie, fascinée par cette robe de mariée découverte lors d’une visite au musée,
s’emparera de cette histoire authentique dont elle tirera un prodigieux monologue intérieur qui
ressuscite le destin de cette femme brisée. Elle nous entraîne à sa suite aux confins d’une âme
tourmentée, candide et violente, enfantine et exaltée, entre alternance de crises de schizophrénie et
période de lucidité, sans jamais renoncer à son rêve, tirant obstinément l’aiguille pour rassembler les
morceaux épars de son corps et de son esprit et parachever la robe qu’elle portera pour celui qui fera
d’elle une femme et une mère.
Avec la collaboration artistique de Danièle Sallenave de l’Académie Française, Chris Berna, assistée de Tristan
Bruemmer, a mis en scène le livret puissant de Katherine Battaiellie magnifiquement interprété par
Marie-Catherine Conti, transfuge bouleversante de ce destin tragique. Pari osé que de s’emparer de
ce long monologue et d’un personnage hors norme mais Marie-Catherine Conti sert de la plus belle
façon qui soit le texte poignant de Katherine Battaiellie. Le spectateur est happé par la puissance de
son jeu, par ses intonations, ses silences, ses respirations et les mouvements de son corps habité par
son personnage. Le violoncelle de Lucie Lacour soutient sa prestation avec des accords apaisés ou
déchirants, voire grinçants, en accord avec les soubresauts qui agitent l’esprit tourmenté de la
brodeuse. On se laisse porter par la beauté de la langue sur les accents tour à tour ingénus,
colériques, désespérés, exaltés de la comédienne qui maintient l’auditoire sous le charme et on
ressort au grand jour en clignant des yeux, sonnés par le spectacle, l’avant-dernier inscrit au
répertoire de cette saison théâtrale de L'Atelier des arts à la Grange « avant l’hiver ».
Une longue attente avant de suivre de nouveau les méandres de l’Art en Chemin sur les itinéraires de
randonnées et de promenades de la région et de renouer avec les belles initiatives de cette
association dont l’ambition est de servir l’art et la culture en milieu rural souvent privé de spectacles
de qualité. Mission accomplie !
Joelle Frémont
"La robe de mariée"
Une rencontre entre un auteur, une metteure en scène et son assistant, une musicienne et une comédienne pour un
spectacle poignant qui laisse le spectateur KO debout.
La Robe de Mariée nous restitue le parcours d’une femme internée en hôpital psychiatrique à l’âge
de 41 ans qui pour tromper sa solitude, son ennui et ses souffrances se réfugie dans le rêve
improbable d’une rencontre avec le « Prince Charmant » qui la choisira entre toutes et l’arrachera à
son enfer quotidien.
Mystère et étrangeté d’un monde irrationnel entre délire et lucidité, nécessité de trouver dans un
univers concentrationnaire l’échappatoire qui permet de survivre. Pour Marguerite Sirvins, âgée de
55 ans mais persuadée qu’elle n’en a que 18, ce sera la confection de sa robe de mariée. Réalisée
avec les moyens du bord à partir de matériaux de récupération sous forme de draps usés (tellement
plus doux que le tissu rêche des draps neufs dira-t-elle), dont elle tire patiemment les fils qu’elle
tissera jour après jour pour en faire une extraordinaire ouvrage de dentelle que l’artiste Jean
Dubuffet distinguera comme une œuvre majeure de l’art brut, œuvre que le public peut admirer au
musée de Lausanne.
Katherine Battaiellie, fascinée par cette robe de mariée découverte lors d’une visite au musée,
s’emparera de cette histoire authentique dont elle tirera un prodigieux monologue intérieur qui
ressuscite le destin de cette femme brisée. Elle nous entraîne à sa suite aux confins d’une âme
tourmentée, candide et violente, enfantine et exaltée, entre alternance de crises de schizophrénie et
période de lucidité, sans jamais renoncer à son rêve, tirant obstinément l’aiguille pour rassembler les
morceaux épars de son corps et de son esprit et parachever la robe qu’elle portera pour celui qui fera
d’elle une femme et une mère.
Avec la collaboration artistique de Danièle Sallenave de l’Académie Française, Chris Berna, assistée de Tristan
Bruemmer, a mis en scène le livret puissant de Katherine Battaiellie magnifiquement interprété par
Marie-Catherine Conti, transfuge bouleversante de ce destin tragique. Pari osé que de s’emparer de
ce long monologue et d’un personnage hors norme mais Marie-Catherine Conti sert de la plus belle
façon qui soit le texte poignant de Katherine Battaiellie. Le spectateur est happé par la puissance de
son jeu, par ses intonations, ses silences, ses respirations et les mouvements de son corps habité par
son personnage. Le violoncelle de Lucie Lacour soutient sa prestation avec des accords apaisés ou
déchirants, voire grinçants, en accord avec les soubresauts qui agitent l’esprit tourmenté de la
brodeuse. On se laisse porter par la beauté de la langue sur les accents tour à tour ingénus,
colériques, désespérés, exaltés de la comédienne qui maintient l’auditoire sous le charme et on
ressort au grand jour en clignant des yeux, sonnés par le spectacle, l’avant-dernier inscrit au
répertoire de cette saison théâtrale de L'Atelier des arts à la Grange « avant l’hiver ».
Une longue attente avant de suivre de nouveau les méandres de l’Art en Chemin sur les itinéraires de
randonnées et de promenades de la région et de renouer avec les belles initiatives de cette
association dont l’ambition est de servir l’art et la culture en milieu rural souvent privé de spectacles
de qualité. Mission accomplie !
Joelle Frémont
14 juillet 2021
"Sur les pas d'Oger-le-Danois"
Un petit mot pour vous dire un Grand Merci pour cette conférence passionnante sur Oger-le-Danois et pour toute cette documentation bibliographique !
Laurence, Auger-Saint-Vincent, Oise
"Sur les pas d'Oger-le-Danois"
Un petit mot pour vous dire un Grand Merci pour cette conférence passionnante sur Oger-le-Danois et pour toute cette documentation bibliographique !
Laurence, Auger-Saint-Vincent, Oise
12 juillet 2021
"Sur les pas d'Oger-le-Danois"
Un grand merci pour la passionnante causerie d'hier.... de belles découvertes sur les villages disparus, les origines de certains mots.... et de multiples autres sujets historiques... ou sociologiques qui suscitent réflexions !
Pascale, Rully, Oise
"Sur les pas d'Oger-le-Danois"
Un grand merci pour la passionnante causerie d'hier.... de belles découvertes sur les villages disparus, les origines de certains mots.... et de multiples autres sujets historiques... ou sociologiques qui suscitent réflexions !
Pascale, Rully, Oise
12 juillet 2021
"Sur les pas d'Oger-le-Danois"
nous avons beaucoup apprécié la visite et la conférence. Nous avons appris plein de choses ! et pas que sur Trumilly. merci
Pauline, Trumilly
"Sur les pas d'Oger-le-Danois"
nous avons beaucoup apprécié la visite et la conférence. Nous avons appris plein de choses ! et pas que sur Trumilly. merci
Pauline, Trumilly
12 juillet 2021
"Sur les pas d'Oger-le-Danois"
une conférence très intéressante sur l'histoire très ancienne du territoire. Merci Alain Bron et l'atelier des arts.
Marie-Christine Robert, Senlis
"Sur les pas d'Oger-le-Danois"
une conférence très intéressante sur l'histoire très ancienne du territoire. Merci Alain Bron et l'atelier des arts.
Marie-Christine Robert, Senlis
6 juillet 2021
Belle initiative dans un endroit charmant
Nous avons apprécié ce moment de retour dans l'histoire mouvementée de la colonisation, à un rythme plus lent.
Florence Raqbi
Belle initiative dans un endroit charmant
Nous avons apprécié ce moment de retour dans l'histoire mouvementée de la colonisation, à un rythme plus lent.
Florence Raqbi
3 juillet 2021
Des spectacles de qualité dans notre campagne... Quel privilège dont on aurait bien tort de se priver !
Marie Catherine Conti se démène pour animer cette association et ainsi on a pu entendre Majid Moya chanteur lyrique, assister à une soirée st Exupéry, des opéras comiques et autres régals artistiques..
Bravo à tous ces acteurs et...longue vie à l'Atelier des Arts !
Elisabeth Cornu, Montepilloy, Oise
Des spectacles de qualité dans notre campagne... Quel privilège dont on aurait bien tort de se priver !
Marie Catherine Conti se démène pour animer cette association et ainsi on a pu entendre Majid Moya chanteur lyrique, assister à une soirée st Exupéry, des opéras comiques et autres régals artistiques..
Bravo à tous ces acteurs et...longue vie à l'Atelier des Arts !
Elisabeth Cornu, Montepilloy, Oise
29 juin 2021
Merci à Marie-Catherine Conti pour l'interprétation magnifique des Lettres de Toussainte.
Cette pièce devrait être étudiée par les lycéens tant les thèmes sont riches (les guerres et leurs méfaits, la colonisation et la décolonisation, la condition de la femme, l'âme corse avec le code de l'honneur, les liens familiaux, l 'amour, etc.)
Elisabeth Fiévet-Bauden
Merci à Marie-Catherine Conti pour l'interprétation magnifique des Lettres de Toussainte.
Cette pièce devrait être étudiée par les lycéens tant les thèmes sont riches (les guerres et leurs méfaits, la colonisation et la décolonisation, la condition de la femme, l'âme corse avec le code de l'honneur, les liens familiaux, l 'amour, etc.)
Elisabeth Fiévet-Bauden
29 juin 2021
Que dire, que faire, sinon applaudir à tout rompre. Salle modeste mais, comédiens talentueux servant des textes de qualité. Un public conquis et fidèle. Art et ruralité font plus que bon ménage à La grange de Trumilly et remettent à sa place un parisianisme déplacé.
Dernièrement, le voyage dans notre histoire au travers de l'incroyable prestation de Marie Catherine Conti dans Les lettres de Toussainte, fut un moment délicieux ; un bonbon. Bravo ! Continuez.
Gérard Bertuzzi, écrivain, Trumilly, Oise
Que dire, que faire, sinon applaudir à tout rompre. Salle modeste mais, comédiens talentueux servant des textes de qualité. Un public conquis et fidèle. Art et ruralité font plus que bon ménage à La grange de Trumilly et remettent à sa place un parisianisme déplacé.
Dernièrement, le voyage dans notre histoire au travers de l'incroyable prestation de Marie Catherine Conti dans Les lettres de Toussainte, fut un moment délicieux ; un bonbon. Bravo ! Continuez.
Gérard Bertuzzi, écrivain, Trumilly, Oise
29 juin 2021
Quelle merveilleuse pièce que "Les Lettres de Toussainte". Marie Catherine Conti nous dévoile à la fois avec sensibilité, pudeur et rage contenue ce destin d'institutrice corse. A travers ce personnage, c'est la condition de la femme corse corsetée dans l'histoire familiale et expatriée dans la grande Histoire: celle de la France coloniale. Il fallait une grande comédienne pour exprimer toutes les facettes de cette femme ballotée dans les remous d'une Europe agitée: Marie Catherine Conti y réussit formidablement.
Yves Cairoli, plasticien, Douai, Nord
Quelle merveilleuse pièce que "Les Lettres de Toussainte". Marie Catherine Conti nous dévoile à la fois avec sensibilité, pudeur et rage contenue ce destin d'institutrice corse. A travers ce personnage, c'est la condition de la femme corse corsetée dans l'histoire familiale et expatriée dans la grande Histoire: celle de la France coloniale. Il fallait une grande comédienne pour exprimer toutes les facettes de cette femme ballotée dans les remous d'une Europe agitée: Marie Catherine Conti y réussit formidablement.
Yves Cairoli, plasticien, Douai, Nord
28 juin 2021
Nous avons découvert votre association à travers "Les lettres de Toussainte", la belle pièce de théâtre interprétée avec beaucoup d'émotion par Marie Catherine Conti
Bravo à vous pour le travail accompli et tout cela de manière bénévole !
Patrick Prat, Rully, Oise
Nous avons découvert votre association à travers "Les lettres de Toussainte", la belle pièce de théâtre interprétée avec beaucoup d'émotion par Marie Catherine Conti
Bravo à vous pour le travail accompli et tout cela de manière bénévole !
Patrick Prat, Rully, Oise
28 juin 2021
Les lettres de Toussainte, dimanche 27 juin 2021:
Un spectacle magnifique! Quel bonheur de voir un spectacle d’une telle qualité dans notre milieu rural! Merci à l’association pour le travail fourni.
Dédicace particulière à Marie-Catherine qui nous a fait voyager et partager les belles émotions de Toussainte! Une soirée épanouissante sur le plan artistique et humain. MERCI !!!
Françoise Levallois, Oise
Les lettres de Toussainte, dimanche 27 juin 2021:
Un spectacle magnifique! Quel bonheur de voir un spectacle d’une telle qualité dans notre milieu rural! Merci à l’association pour le travail fourni.
Dédicace particulière à Marie-Catherine qui nous a fait voyager et partager les belles émotions de Toussainte! Une soirée épanouissante sur le plan artistique et humain. MERCI !!!
Françoise Levallois, Oise
29 septembre 2020
"Prévert fait son cinéma"
La fantaisie grave de Prévert, sa gouaille, son univers poétique et tendre servis par la voix de Vincent Vittoz subtilement accompagné par les notes de piano tour à tour rythmées, allègres ou doucement retenues de Vincent Leterme.
Le temps passe trop vite en compagnie de ce duo dont le dynamisme, la complicité, la maîtrise du rythme nous maintiennent en apesanteur pendant presque une heure et demi.
Quelques intermèdes rythment opportunément le spectacle avec des extraits de films dialogués par Prévert. Charme suranné du noir et blanc. Les images un peu tremblées des vieilles bobines d’où surgissent des répliques inoubliables qui font désormais partie de notre patrimoine culturel commun. Jouvet, Arletty, Jean-Louis Barrault … tant de visages qui ont fait les beaux jours du cinoche des années 50 ; une époque révolue inscrite profondément dans l’histoire du septième art.
Un spectacle qui vient clore en beauté le cycle estival de l’Atelier des Arts.
Joëlle Frémont
"Prévert fait son cinéma"
La fantaisie grave de Prévert, sa gouaille, son univers poétique et tendre servis par la voix de Vincent Vittoz subtilement accompagné par les notes de piano tour à tour rythmées, allègres ou doucement retenues de Vincent Leterme.
Le temps passe trop vite en compagnie de ce duo dont le dynamisme, la complicité, la maîtrise du rythme nous maintiennent en apesanteur pendant presque une heure et demi.
Quelques intermèdes rythment opportunément le spectacle avec des extraits de films dialogués par Prévert. Charme suranné du noir et blanc. Les images un peu tremblées des vieilles bobines d’où surgissent des répliques inoubliables qui font désormais partie de notre patrimoine culturel commun. Jouvet, Arletty, Jean-Louis Barrault … tant de visages qui ont fait les beaux jours du cinoche des années 50 ; une époque révolue inscrite profondément dans l’histoire du septième art.
Un spectacle qui vient clore en beauté le cycle estival de l’Atelier des Arts.
Joëlle Frémont
6 octobre 2020
Un grand merci à votre association
pour le choix des spectacles de qualité proposés cette saison
Aux artistes qui se déplacent de permettre à La culture et au divertissement de venir à nous.
Dominique Charon
Un grand merci à votre association
pour le choix des spectacles de qualité proposés cette saison
Aux artistes qui se déplacent de permettre à La culture et au divertissement de venir à nous.
Dominique Charon
7 octobre 2020
"Prévert fait son cinéma"
Acceuil chaleureux (malgré le froid), équipe plus que sympathique et dévouée, salle de spectacle "dans le jus". Parfait.
Quant au spectacle, je n'ai vu que celui de Prévert, je l'ai bien apprécié, mais personnellement, je l'aurai aimé peut-être plus dans "l'air du temps"(c'est mon humble avis). Mais bien agréable à regarder et écouter tout de même.
Conclusion : je reviendrai. Cordialement et encore merci pour la couverture...
Joe-Juliette Blanchard
"Prévert fait son cinéma"
Acceuil chaleureux (malgré le froid), équipe plus que sympathique et dévouée, salle de spectacle "dans le jus". Parfait.
Quant au spectacle, je n'ai vu que celui de Prévert, je l'ai bien apprécié, mais personnellement, je l'aurai aimé peut-être plus dans "l'air du temps"(c'est mon humble avis). Mais bien agréable à regarder et écouter tout de même.
Conclusion : je reviendrai. Cordialement et encore merci pour la couverture...
Joe-Juliette Blanchard
7 octobre 2020
"Juby"
Pour que la culture continue à vivre chaque spectacle est important
Et, celui que j'ai eu plaisir à voir sur A de St Exupery le prouve aisément.
Continuez dans cet esprit et cette qualité
Jean-Michel Dufour
"Juby"
Pour que la culture continue à vivre chaque spectacle est important
Et, celui que j'ai eu plaisir à voir sur A de St Exupery le prouve aisément.
Continuez dans cet esprit et cette qualité
Jean-Michel Dufour
7 octobre 2020
Quelle chance qu'ont le village de Trumilly et ses environs de bénéficier de spectacles de grande qualité ! Bravo aux artistes et aux bénévoles qui font vivre ce lieu dans le monde rural !
Alain Bron, auteur, responsable artistique de L'Art en chemin
Quelle chance qu'ont le village de Trumilly et ses environs de bénéficier de spectacles de grande qualité ! Bravo aux artistes et aux bénévoles qui font vivre ce lieu dans le monde rural !
Alain Bron, auteur, responsable artistique de L'Art en chemin
7 octobre 2020
Je tiens à saluer votre courageuse initiative. C’est vraiment formidable que du théâtre et de la musique d’une telle qualité arrivent jusque dans cette grange. Je me régale. Quel dommage que vous n’ayez pas assez d’argent pour la chauffer. L’hiver va être long sans vous! Merci pour votre idée et l’obstination qu’il vous faut pour la maintenir si active !
Isabelle Huchet, auteur, scénographe
Je tiens à saluer votre courageuse initiative. C’est vraiment formidable que du théâtre et de la musique d’une telle qualité arrivent jusque dans cette grange. Je me régale. Quel dommage que vous n’ayez pas assez d’argent pour la chauffer. L’hiver va être long sans vous! Merci pour votre idée et l’obstination qu’il vous faut pour la maintenir si active !
Isabelle Huchet, auteur, scénographe
8 octobre 2020
Les 2 spectacles auxquels j'ai assisté:
-Berlin 33
-Prévert fait son cinéma
très différents, étaient de très bonne qualité et magnifiquement interprétés. Une grande chance pour nous les ruraux de bénéficier de tels spectacles!
Dommage que le contexte sanitaire n'ait pas permis de se réunir après la dernière représentation. A poursuivre et à faire connaître..
Avec toutes mes félicitations et ma sympathie pour l'Equipe Organisatrice,
Elisabeth Fiévet-Bauden
Les 2 spectacles auxquels j'ai assisté:
-Berlin 33
-Prévert fait son cinéma
très différents, étaient de très bonne qualité et magnifiquement interprétés. Une grande chance pour nous les ruraux de bénéficier de tels spectacles!
Dommage que le contexte sanitaire n'ait pas permis de se réunir après la dernière représentation. A poursuivre et à faire connaître..
Avec toutes mes félicitations et ma sympathie pour l'Equipe Organisatrice,
Elisabeth Fiévet-Bauden
8 octobre 2020
J’ai eu le plaisir de faire la rentrée avec la «Servante maîtresse » de Pergolese, j’ai adoré, c’était divinement bien joué.
C’est une heureuse initiative qu’il faut faire perdurer face à son succès pour l’avoir observé.. Je partage bien volontiers l’initiative d’Alain Bron.
Le théâtre de cette qualité est un réel bonheur et surtout en cette fichue période où nous avons grandement besoin de nous divertir..
Au plaisir d’y retourner et à bientôt je l’espère !
Amicalement
Monique Desserme
J’ai eu le plaisir de faire la rentrée avec la «Servante maîtresse » de Pergolese, j’ai adoré, c’était divinement bien joué.
C’est une heureuse initiative qu’il faut faire perdurer face à son succès pour l’avoir observé.. Je partage bien volontiers l’initiative d’Alain Bron.
Le théâtre de cette qualité est un réel bonheur et surtout en cette fichue période où nous avons grandement besoin de nous divertir..
Au plaisir d’y retourner et à bientôt je l’espère !
Amicalement
Monique Desserme
8 octobre 2020
Un grand bravo à ce lieu culturel de proximité qui propose une programmation à la fois exigeante et populaire, dans un lieu qui a une âme.
Au-delà de la représentation, le cadre invite à des échanges et discussions passionnants entre les artistes et les spectateurs.
Merci pour cet ancrage dans le territoire qui associe offre théâtrale de qualité et convivialité.
Laurent Contamin, auteur, acteur
Un grand bravo à ce lieu culturel de proximité qui propose une programmation à la fois exigeante et populaire, dans un lieu qui a une âme.
Au-delà de la représentation, le cadre invite à des échanges et discussions passionnants entre les artistes et les spectateurs.
Merci pour cet ancrage dans le territoire qui associe offre théâtrale de qualité et convivialité.
Laurent Contamin, auteur, acteur
8 octobre 2020
Quel plaisir de venir à "La Grange" de Trumilly ! J'ai découvert ce lieu et la programmatrice artistique, Marie-Catherine Conti, en 2019 : tous les spectacles vus ont été d'une grande qualité, intelligents, variés, et servis par des artistes professionnels talentueux. Ce lieu atypique plonge les heureux spectateurs dans une ambiance intimiste et conviviale. J'ai eu la chance d'assister cette année au spectacle de clôture de la saison 2020 : "Prévert fait son cinéma". Quel bonheur encore une fois ! Tant de réjouissances dans cette grange devraient bénéficier au plus grand nombre, alors vivement 2021 pour découvrir à Trumilly, non loin de Senlis, d'autres pépites culturelles ! Merci à tous les artistes, à toute l'équipe de "l'Atelier des Arts" et à sa programmatrice. A très bientôt.
Françoise Hamouchi
Quel plaisir de venir à "La Grange" de Trumilly ! J'ai découvert ce lieu et la programmatrice artistique, Marie-Catherine Conti, en 2019 : tous les spectacles vus ont été d'une grande qualité, intelligents, variés, et servis par des artistes professionnels talentueux. Ce lieu atypique plonge les heureux spectateurs dans une ambiance intimiste et conviviale. J'ai eu la chance d'assister cette année au spectacle de clôture de la saison 2020 : "Prévert fait son cinéma". Quel bonheur encore une fois ! Tant de réjouissances dans cette grange devraient bénéficier au plus grand nombre, alors vivement 2021 pour découvrir à Trumilly, non loin de Senlis, d'autres pépites culturelles ! Merci à tous les artistes, à toute l'équipe de "l'Atelier des Arts" et à sa programmatrice. A très bientôt.
Françoise Hamouchi
8 octobre 2020
La Mairie de RARAY a participé dès l'origine à la création de l'Association de l'Atelier des Arts; depuis de nombreux spectacles, à Raray d'abord et à Trumilly aujourd'hui, ont été offerts aux habitants du monde rural.
C'est une chance inouïe, que grâces aux bénévoles de l'Association, comédiens, retraités, professions libérales etc. cette population rurale ait pu bénéficier de représentations de très grandes qualités.
Je tiens à féliciter et à exprimer ma profonde gratitude aux bénévoles et aux acteurs professionnels qui nous font profiter de leur talent chaque année.
Nous attendons avec impatience la prochaine saison.
La commune de Raray soutient financièrement cette Association et, en tant que Maire et Vice Président de la Communauté Senlis Sud Oise en charge du tourisme et du développement du territoire j'invite les autres acteurs des instances locales à en faire de même.
Bravo à tous.
Jean-Marc de Labedoyère, maire de Raray et Vice-président de la Communauté de Communes "Senlis Sud-Oise"
La Mairie de RARAY a participé dès l'origine à la création de l'Association de l'Atelier des Arts; depuis de nombreux spectacles, à Raray d'abord et à Trumilly aujourd'hui, ont été offerts aux habitants du monde rural.
C'est une chance inouïe, que grâces aux bénévoles de l'Association, comédiens, retraités, professions libérales etc. cette population rurale ait pu bénéficier de représentations de très grandes qualités.
Je tiens à féliciter et à exprimer ma profonde gratitude aux bénévoles et aux acteurs professionnels qui nous font profiter de leur talent chaque année.
Nous attendons avec impatience la prochaine saison.
La commune de Raray soutient financièrement cette Association et, en tant que Maire et Vice Président de la Communauté Senlis Sud Oise en charge du tourisme et du développement du territoire j'invite les autres acteurs des instances locales à en faire de même.
Bravo à tous.
Jean-Marc de Labedoyère, maire de Raray et Vice-président de la Communauté de Communes "Senlis Sud-Oise"
9 octobre 2020
La Grange est un écrin qui abrite de très beaux spectacles. J'y vais les yeux fermés, sachant que j'y trouverai toujours matière à réflexion, que j'y goûterai des instants magiques.
Avoir installé au cœur d'un village un lieu de spectacle était une gageure et un acte de foi en la culture pour tous, Le pari est réussi puisque nous y revenons, toujours plus nombreux. Bravo et longue vie à L'Atelier des Arts !
Bernard Jourdain, auteur, metteur en scène
La Grange est un écrin qui abrite de très beaux spectacles. J'y vais les yeux fermés, sachant que j'y trouverai toujours matière à réflexion, que j'y goûterai des instants magiques.
Avoir installé au cœur d'un village un lieu de spectacle était une gageure et un acte de foi en la culture pour tous, Le pari est réussi puisque nous y revenons, toujours plus nombreux. Bravo et longue vie à L'Atelier des Arts !
Bernard Jourdain, auteur, metteur en scène
10 octobre 2020
L’automne et le froid arrivent bientôt, hélas, et je crois que les spectacles donnés à La Grange vont devoir s’interrompre.. Quel dommage d’être privé d’un tel plaisir ! Bravo aux organisateurs ! Cela fait du bien, quand on vit à la campagne, d’assister à des spectacles d’une telle qualité.. D’une telle exigence.. Car ce n’est pas rien que de faire découvrir "La vie matérielle" de Marguerite Duras à un public qui peut-être ne connaît pas ce texte.. J’ai beaucoup apprécié également "Au bonheur des Dames" de Zola et l'ambitieux Pergolèse.. J’ajoute que le lieu est plein de charme et l’ambiance chaleureuse, ce qui n’est pas sans importance par les temps qui courent.
Danièle Rousselier, auteur, cinéaste
L’automne et le froid arrivent bientôt, hélas, et je crois que les spectacles donnés à La Grange vont devoir s’interrompre.. Quel dommage d’être privé d’un tel plaisir ! Bravo aux organisateurs ! Cela fait du bien, quand on vit à la campagne, d’assister à des spectacles d’une telle qualité.. D’une telle exigence.. Car ce n’est pas rien que de faire découvrir "La vie matérielle" de Marguerite Duras à un public qui peut-être ne connaît pas ce texte.. J’ai beaucoup apprécié également "Au bonheur des Dames" de Zola et l'ambitieux Pergolèse.. J’ajoute que le lieu est plein de charme et l’ambiance chaleureuse, ce qui n’est pas sans importance par les temps qui courent.
Danièle Rousselier, auteur, cinéaste
11 octobre 2020
Merci de cet apport de culture cérébralière au sein de nos terres céréalières. Bravo aux comédiens de nous avoir fait rêver avec St Exupéry, d'avoir à coups de chapeaux fait revivre Au bonheur des dames, de nous avoir, avec La servante maîtresse, fait découvrir un opéra bouffe... Vous êtes autant nécessaires à la vie de nos villages que la poste, l'école, l'épicerie... Mille merci pour vos choix judicieux et la qualité des comédiens !
Gérard Bertuzzi, auteur
Merci de cet apport de culture cérébralière au sein de nos terres céréalières. Bravo aux comédiens de nous avoir fait rêver avec St Exupéry, d'avoir à coups de chapeaux fait revivre Au bonheur des dames, de nous avoir, avec La servante maîtresse, fait découvrir un opéra bouffe... Vous êtes autant nécessaires à la vie de nos villages que la poste, l'école, l'épicerie... Mille merci pour vos choix judicieux et la qualité des comédiens !
Gérard Bertuzzi, auteur
12 octobre 2020
Ce fut un dimanche après-midi enjoué, un enchaînement poétique déroulé avec souffle et finesse. On en sortit tout heureux. Et Prévert, là où il est, n'a pu qu'en sourire...
Jean-Pierre Langellier, auteur, journaliste
Ce fut un dimanche après-midi enjoué, un enchaînement poétique déroulé avec souffle et finesse. On en sortit tout heureux. Et Prévert, là où il est, n'a pu qu'en sourire...
Jean-Pierre Langellier, auteur, journaliste
12 octobre 2020
"La Grange" à Trumilly, quelle belle idée ! Des spectacles de qualité avec de trés bons comédiens et artistes. "Berlin 33" cette année là, il n'y a que le vin de Moselle qui était bien". "Au Bonheur des Dames" CHAPEAU ! Madame. "Servante Maîtresse" un opéra bouffe, une découverte drôle . Quelle chance de pouvoir bénéficier de tels spectacles à notre porte.
Vivement la saison prochaine !
Ghislaine Bouchu, Présidente du Club Léo Lagrange de Trumilly
"La Grange" à Trumilly, quelle belle idée ! Des spectacles de qualité avec de trés bons comédiens et artistes. "Berlin 33" cette année là, il n'y a que le vin de Moselle qui était bien". "Au Bonheur des Dames" CHAPEAU ! Madame. "Servante Maîtresse" un opéra bouffe, une découverte drôle . Quelle chance de pouvoir bénéficier de tels spectacles à notre porte.
Vivement la saison prochaine !
Ghislaine Bouchu, Présidente du Club Léo Lagrange de Trumilly
13 octobre 2020
Dans un cadre atypique, une grange, rustique, qui baigne dans son jus, des spectacles de grande qualité et de diversité. Personnellement j'ai assisté "Au Bonheur des Dames", exploit scénique d'une actrice, seule, interprétant 19 personnages grâce à 19 chapeau !!! J'ai découvert l'Opera bouffe de Pergolèse, une bouffée de légèreté et de gaieté, et enfin pour clore la saison, une merveilleuse interprétation de textes de Prévert (seconde séance programmée le dimanche à cause d'une demande du public, c'est cela le succès !!!).
Chaque fois le temps est passé trop vite. Qualité de la programmation mais aussi des acteurs. Bravo aux organisateurs de L'Atelier des arts, je signe pour la saison prochaine !!!
Bonne continuation
Patrice LAINE, Président des Amis de la Bibliothèque de Senlis
Dans un cadre atypique, une grange, rustique, qui baigne dans son jus, des spectacles de grande qualité et de diversité. Personnellement j'ai assisté "Au Bonheur des Dames", exploit scénique d'une actrice, seule, interprétant 19 personnages grâce à 19 chapeau !!! J'ai découvert l'Opera bouffe de Pergolèse, une bouffée de légèreté et de gaieté, et enfin pour clore la saison, une merveilleuse interprétation de textes de Prévert (seconde séance programmée le dimanche à cause d'une demande du public, c'est cela le succès !!!).
Chaque fois le temps est passé trop vite. Qualité de la programmation mais aussi des acteurs. Bravo aux organisateurs de L'Atelier des arts, je signe pour la saison prochaine !!!
Bonne continuation
Patrice LAINE, Président des Amis de la Bibliothèque de Senlis
14 octobre 2020
Après de longues semaines de torpeur intellectuelle, le spectacle Juby, incarné par Laurent Contamin nous a galvanisés ! Des hauts plateaux de l'Atlas à la planète du Petit Prince, la prose de Saint Exupéry confirme que toute expérience humaine, quelle qu'elle soit, vaut la peine d'être vécue... et ni les masques, ni la distanciation ne furent une entrave à ce moment délicieux d'émotion théâtrale ! Un immense merci à l'équipe qui a oeuvré pour la mise en place du spectacle et une mention spéciale à Laurent qui ce soir là s'est sublimé !!
Emmanuelle ZBYNOVSKY
Après de longues semaines de torpeur intellectuelle, le spectacle Juby, incarné par Laurent Contamin nous a galvanisés ! Des hauts plateaux de l'Atlas à la planète du Petit Prince, la prose de Saint Exupéry confirme que toute expérience humaine, quelle qu'elle soit, vaut la peine d'être vécue... et ni les masques, ni la distanciation ne furent une entrave à ce moment délicieux d'émotion théâtrale ! Un immense merci à l'équipe qui a oeuvré pour la mise en place du spectacle et une mention spéciale à Laurent qui ce soir là s'est sublimé !!
Emmanuelle ZBYNOVSKY
22 octobre 2020
J'ai eu la chance de voir "Vignes", "La vie matérielle" de Marguerite Duras et le concert de Madjid Mohia.
Vignes m'a particulièrement touchée par le jeu, par l'originalité de l'écriture et par le chant qui complétait à merveille ce conte, ce récit de vie.
J'ai également très apprécié de re-découvrir Duras par cette adaptation sur scène de La vie matérielle. J'ai d'ailleurs, à la suite de cette adaptation, acheté le livre que j'ai partagé avec mon amie.
Le concert de Madjid Mohia fut également une très belle découverte d'un artiste très talentueux. Mais j'avoue que le son du piano m'a quelque peu dérangée ou était-ce l'acoustique du lieu ?
Bref, de très belles programmations et une très belle initiative qui j'espère va perdurer.
Les temps sont troubles pour la Culture pourtant elle est vitale pour appréhender le monde et tout simplement "vivre".
Annie SCOTEE
J'ai eu la chance de voir "Vignes", "La vie matérielle" de Marguerite Duras et le concert de Madjid Mohia.
Vignes m'a particulièrement touchée par le jeu, par l'originalité de l'écriture et par le chant qui complétait à merveille ce conte, ce récit de vie.
J'ai également très apprécié de re-découvrir Duras par cette adaptation sur scène de La vie matérielle. J'ai d'ailleurs, à la suite de cette adaptation, acheté le livre que j'ai partagé avec mon amie.
Le concert de Madjid Mohia fut également une très belle découverte d'un artiste très talentueux. Mais j'avoue que le son du piano m'a quelque peu dérangée ou était-ce l'acoustique du lieu ?
Bref, de très belles programmations et une très belle initiative qui j'espère va perdurer.
Les temps sont troubles pour la Culture pourtant elle est vitale pour appréhender le monde et tout simplement "vivre".
Annie SCOTEE
23 octobre 2020
Bonjour,
Nous voulons exprimer le plaisir et la joie ressentis lors de nos participations aux spectacles de l’Atelier des Arts depuis quelques années déjà.
C’est comme cela que nous avons pu apprécier, entre autres, « Deux rien » par la Cie Comme si, en 2017, « Aragon », avec M.C. Conti et M. Mohia, en 2018, « Au fil de l’air », par Les Itinérantes et « Pour un oui ou pour un non », de N. Sarraute, avec les talentueux Olivier Lecoq et Richard Delestre, en septembre 2019.
Nous sommes toujours très heureux de retrouver le petit théâtre « La grange » à Trumilly, avec la chaleur de son accueil et la proximité des artistes.
Un lieu rare où nous sommes avec les acteurs, au cœur de la scène.
Nous espérons le voir prospérer et vivre pour le bonheur des acteurs, des organisateurs et des spectateurs.
Longue vie au théâtre « La grange » et à ses auteurs.
Annick et Sylvain OHAYON
Bonjour,
Nous voulons exprimer le plaisir et la joie ressentis lors de nos participations aux spectacles de l’Atelier des Arts depuis quelques années déjà.
C’est comme cela que nous avons pu apprécier, entre autres, « Deux rien » par la Cie Comme si, en 2017, « Aragon », avec M.C. Conti et M. Mohia, en 2018, « Au fil de l’air », par Les Itinérantes et « Pour un oui ou pour un non », de N. Sarraute, avec les talentueux Olivier Lecoq et Richard Delestre, en septembre 2019.
Nous sommes toujours très heureux de retrouver le petit théâtre « La grange » à Trumilly, avec la chaleur de son accueil et la proximité des artistes.
Un lieu rare où nous sommes avec les acteurs, au cœur de la scène.
Nous espérons le voir prospérer et vivre pour le bonheur des acteurs, des organisateurs et des spectateurs.
Longue vie au théâtre « La grange » et à ses auteurs.
Annick et Sylvain OHAYON
2 novembre 2020
Tous les spectacles auxquels j'ai assisté ont été de grande qualité.
La scénographie dans ce contexte assez austère de la Grange a permis de valoriser plus encore la beauté des textes ou de la musique.
Nous apprécions d'autant plus, la chance de pouvoir dans ce petit village partager un moment précieux, convivial et ressourçant.
Bravo et en attente de jours meilleurs, gardez courage, nous serons là pour vous applaudir encore.
Marie-Nelly & James THOMAS, Trumilly
Tous les spectacles auxquels j'ai assisté ont été de grande qualité.
La scénographie dans ce contexte assez austère de la Grange a permis de valoriser plus encore la beauté des textes ou de la musique.
Nous apprécions d'autant plus, la chance de pouvoir dans ce petit village partager un moment précieux, convivial et ressourçant.
Bravo et en attente de jours meilleurs, gardez courage, nous serons là pour vous applaudir encore.
Marie-Nelly & James THOMAS, Trumilly
11 novembre 2020
Un spectacle de grande qualité dans sa conception et son interprétation par le comédien-chanteur Vincent Vittoz : "Prévert fait son cinéma" ferait le régal d'une scène parisienne !
Jocelyne SAND
Un spectacle de grande qualité dans sa conception et son interprétation par le comédien-chanteur Vincent Vittoz : "Prévert fait son cinéma" ferait le régal d'une scène parisienne !
Jocelyne SAND